Chez TradOnline nous aimons relever de
nouveaux défis ! Alors, lorsqu’un nouveau client dans le domaine du
textile est venu sonner à notre porte avec un cahier des charges bien précis
nous l’avons accueilli avec plaisir !
Descriptif du besoin client :
Traduction en cinq langues (du français vers
l’anglais, l’espagnol, l’italien, l’allemand et le néerlandais) de fiches
produits sous format Excel. Réception des fichiers chaque jour en milieu d’après-midi
pour une livraison des traductions le lendemain en fin de journée.
Les particularités ? Un client non satisfait de la qualité fournie par son
précédent prestataire ; des mémoires de traduction déjà existantes mais
partiellement erronées, que le client souhaitait récupérer pour diminuer les
coûts ; des délais assez serrés pour assurer la diffusion presque
immédiate des traductions sur le site internet et un budget déjà fixé.
Comment TradOnline a géré cette demande ?
Tout d’abord, la chef de projet dédiée à ce client a pris de la hauteur sur la demande et a dû se poser plusieurs questions avant de sélectionner ses équipes de traducteurs :
quel est le public à
atteindre ?
quel style adopter ? Pour ce
domaine mais plus particulièrement pour ce client ? Les traductions devant
être en accord avec la stratégie de communication choisie ;
quels sont les pays cibles ?
Principalement pour l’anglais et le néerlandais. Les traducteurs sélectionnés
ne seront pas les mêmes si la cible visée est l’Angleterre ou les États-Unis ou
encore les Pays-Bas ou la partie flamande de la Belgique
Habituée de ce domaine d’activité et forte de son expérience en gestion de projets, traiter des demandes multilingues dans des délais serrés ne lui faisait pas peur !
La complexité du projet :
Avec ce type de demande, autrement dit un
besoin quotidien en traduction, la principale difficulté restait la gestion de
la disponibilité des traducteurs. En effet, TradOnline met un point d’honneur à
mobiliser les mêmes ressources d’un projet à l’autre pour assurer une cohérence
à la fois stylistique et terminologique. Or, « bloquer » les mêmes
traducteurs tous les jours n’est pas toujours réalisable et il fallait trouver
une solution pour faire en sorte que l’assignation des fichiers à traduire soit
fluide, rapide et continue (y compris en cas d’indisponibilités des ressources).
Par ailleurs, dans ce domaine, la terminologie
est également fondamentale. D’un client à l’autre, les termes peuvent varier et
bien souvent, les traducteurs en utilisent un alors que le client en préfère un
autre. C’est tout à fait normal puisque le traducteur a parfois besoin de plus
de précisions sur les descriptifs produits pour être sûr de bien comprendre et
par conséquent de bien traduire.
Pour illustrer nos propos, voici un petit
extrait d’un type de libellé produit que nous pouvons recevoir :
Exemple de libellés à traduire : « Pull avec détails tressés et pompons »
Question du traducteur : Est-ce que les pompons sont sur l’ensemble du pull ou uniquement
sur les détails tressés ?
Réponse du client : les pompons sont uniquement sur les
détails tressés
La communication avec le client est donc
extrêmement importante en cas de doute.
Les solutions proposées par TradOnline :
Pour répondre à la demande de ce client, nous
avons mis en place les solutions suivantes :
mise en place d’un serveur FTP
pour automatiser partiellement l’envoi et la réception des fichiers à traduire
et des traductions ;
révision des anciennes mémoires de
traduction par nos experts puisque les anciennes versions comportaient beaucoup
d’incohérences ;
mise en place d’une équipe de 3-4 traducteurs
par langue avec un planning de traduction établi sur plusieurs mois à l’avance.
Le client a pu choisir les traducteurs à la suite de tests que nous leur avons
fait passer ;
les traducteurs choisis pour ce
projet sont tous natifs, professionnels et experts dans le domaine de la mode
et du textile ;
Implémentation des mémoires de
traduction et création d’un glossaire dans notre outil TAO (memoQ) avec un
fichier de questions partagé entre les traducteurs et le client. Ainsi, le
client peut apporter directement des éléments de réponse aux traducteurs ou
ajouter un visuel du produit en question.
Le + TradOnline : Savoir instaurer une étroite collaboration entre tous les intervenants du projet : le client, la chef de projet, les équipes de traducteurs, les informaticiens. La communication est primordiale dans notre partenariat. TradOnline est constamment à l’écoute de ses clients. Cela se traduit par la prise en compte des retours de ces derniers, nous les soumettons à nos experts, nous en discutons ensemble et les modifications éventuelles sont directement apportées à nos process, guides de style, mémoires de traduction et glossaires.
Un de nos clients (grand groupe français de
véhicules de loisirs) nous confie depuis plus de 5 ans la traduction de
ses catalogues produits pour les différentes marques de son groupe. Ces
catalogues doivent être traduits en huit langues à partir de fichiers InDesign
depuis le français vers l’allemand, l’anglais, l’espagnol, le finnois,
l’italien, le néerlandais, le norvégien et le suédois.
Problématique principale du projet
La traduction en huit langues de catalogues multiples peut vite s’avérer compliquée si la gestion n’est pas bien ficelée dès le départ, aussi bien côté client que côté agence de traduction. Dans ce type de projet qui mêle compétences rédactionnelles, techniques et marketing, mais qui demande aussi des notions de mise en page, les intervenants peuvent être nombreux. Il faut donc définir en amont les rôles de chacun et établir un processus clair avec des outils facilitant le travail de tous. La problématique est donc de deux ordres : organisation complexe et technicité du contenu.
Problématiques et solutions apportées par
TradOnline :
Format de fichier utilisé pour
la traduction
Au début de la collaboration,
les éléments à traduire étaient extraits de l’InDesign natif, copiés dans un
document Word et envoyés à TradOnline. Cette tâche était bien trop fastidieuse
pour le client et comportait des risques de perditions d’informations.
Nous avons proposé au client de nous envoyer directement la totalité des fichiers natifs InDesign finalisés. Grâce à notre outil de traduction assistée par ordinateur (nous utilisons memoQ), nous pouvons traiter la traduction directement à partir de l’idml (format d’échange texte brut d’InDesign) extrait du projet sans avoir à en extraire le contenu. Ainsi, nous avons gagné en qualité et en efficacité. Le client ne perd plus son temps avec des copier/coller et les erreurs qui pourraient survenir à la suite de cette manipulation sont donc limitées. Les fichiers .idml traduits dans les différentes langues sont livrés au client, lequel procède à la PAO finale.
Délais serrés
Nous sommes bien
conscients des impératifs rencontrés par nos clients. Bien souvent, les textes
sont finalisés au dernier moment, juste avant la date d’impression du catalogue
prévue et le temps imparti pour la traduction est souvent très court… Pas de
panique, TradOnline, habituée à ce type de problématique, établit à l’avance
avec ses clients un rétroplanning. C’est ce que nous avons fait pour ce projet.
Ce dernier arrivant à la même période chaque année, nous avons mis en place un
planning avec nos équipes de traducteurs sélectionnés. Ceux-ci « réservent »
leur disponibilité pour ce projet ce qui nous permet de faire preuve d’une
grande réactivité vis-à-vis de notre client. Une fois le calendrier des
traducteurs verrouillé, nous mettons en place également un rétroplanning avec
les différentes agences de communication qui interviennent sur le projet.
Parfois, et c’est le cas ici, un client peut faire appel à différentes agences
de communication pour la création des catalogues de ses différentes marques.
Les interlocuteurs étant nombreux, il nous paraissait fondamental de
verrouiller également le planning avec l’ensemble des intervenants du projet.
« Versioning » :
gestion des ajouts/modifications de texte en cours de traduction
Nous sommes
d’accord, mieux vaut envoyer le fichier finalisé en traduction et ne plus
toucher la version source. Cela étant, dans la réalité les choses sont souvent
plus complexes que cela. Pour éviter toute confusion entre les différentes
versions du document, nous avons décidé de regrouper ces modifications en
dehors du fichier .idml. Ainsi, nous avons créé un fichier Excel dans lequel
les ajouts, modifications ou suppressions sont regroupés puis envoyés en
traduction et retournés au client. Ce système permet également d’utiliser la
mémoire de traduction du projet en cours pour assurer la cohérence
terminologique de l’ensemble du document.
Complexité du vocabulaire
Traiter un projet
qui comporte un vocabulaire très technique fait partie du quotidien de
TradOnline. Pour ne pas commettre d’impair, les équipes de traducteurs sont
toujours sélectionnées en fonction de leurs compétences et de leurs domaines de
prédilection. De plus, nous veillons à faire appel aux mêmes équipes de
traducteurs d’un projet à l’autre pour un client si le projet est du même
ordre. Les catalogues revenant chaque année, nous travaillons avec les mêmes équipes,
car il est important de garder le même style d’une année à l’autre. Nos
traducteurs se spécialisent également au fil des années ; habitués au
projet et à ses spécificités, ils deviennent de plus en plus compétents. Enfin,
pour garantir que le bon vocabulaire soit utilisé, nous avons créé une base
terminologique validée par le client.
Relecture par les filiales du groupe
Pour ce client,
chaque filiale du groupe relit les traductions. Il va de soi que chaque
modification apportée par l’une des filiales doit être prise en compte pour le
catalogue de l’année suivante. TradOnline met un point d’honneur à respecter
les préférences du client et à les appliquer aux documents livrés. Grâce à
notre outil TAO et à un procédé d’alignement entre le fichier source et sa version
traduite, nous mettons régulièrement à jour nos mémoires de traduction, ce qui
nous permet de reprendre la dernière version validée d’un texte traduit.
Grand nombre d’intervenants sur le projet
Comme nous l’avons
précisé un peu plus haut, le groupe de notre client possède plusieurs marques.
Chaque marque produit son propre catalogue, qui est créé et géré par
différentes agences de communication, impliquant ainsi des interlocuteurs
différents et des procédés tout aussi variés d’un catalogue à l’autre. Notre
chef de projet référent pour ce client a rencontré les responsables projet des différentes
agences de communication pour s’accorder sur une procédure commune. Avoir un
fonctionnement identique entre tous les intervenants est essentiel pour la
bonne réussite d’un projet de cette envergure.
Le + de TradOnline :
Notre
atout sur ce projet ? Un chef de projet dédié, formé aux problématiques et
aux spécificités des traductions avec PAO. Au fil des années, le chef de projet
connaît le projet sur le bout des doigts, ce qui lui permet une meilleure
anticipation des problèmes et, de facto, une meilleure résolution de
ceux-ci.
N’avoir qu’un seul contact est idéal : vos
demandes et vos besoins sont parfaitement pris en compte. Parce que votre
catalogue reflète l’image de marque de votre entreprise, ne négligez pas sa
traduction !
Alors, si vous aussi vous avez besoin de traduire vos
catalogues, n’hésitez pas à contacter nos équipes, nous nous ferons un plaisir
de vous renseigner et d’étudier avec vous un process adapté à vos besoins.
Un article concernant Planète Urgence sur le site de TradOnline, vous vous dites peut-être : c’est quoi le lien ? Nous avons traduit leur site internet, évidemment !
Mais comme l’environnement est un sujet qui nous concerne vraiment, il s’agit là d’une opération de mécénat de compétences.
Pourquoi faire du mécénat ? Voici 3 raisons pour lesquelles nous avons choisi de travailler bénévolement sur ce projet :
Parce que nous n’avons qu’une planète et qu’il faut veiller à la protéger,
Parce que nous sommes déjà sensibilisés à l’environnement chez TradOnline (tri des déchets, zéro papier, etc.),
Parce que d’une manière ou d’une autre, notre métier (la traduction de contenus) contribue aux échanges mondiaux et donc à la pollution.
Pour toutes ces raisons nous souhaitons nous investir aux côtés de Planète Urgence. Il est d’ailleurs noté dans la constitution française, Article 3 : « Toute personne doit, dans les conditions définies par la loi, prévenir les atteintes qu’elle est susceptible de porter à l’environnement ou, à défaut, en limiter les conséquences […] ».
Notre expertise dans le développement durable
Depuis les débuts de TradOnline en 2008, nous n’avons cessé de clamer haut et fort cet engagement en faveur de l’environnement. C’est pourquoi nous nous sommes positionnés comme une agence de traduction incontournable sur le sujet du développement durable, jouant un rôle clé dans la communication des stratégies d’investissement socialement responsable.
Nous travaillons d’ailleurs pour plusieurs grandes entreprises et associations, toutes en lien avec cette thématique. Des services RSE et ressources humaines font souvent appel à nos compétences en la matière.
Qu’est ce qui différencie une traduction dans ce domaine ? Nos traducteurs spécialisés dans ce dernier sont souvent diplômés en économie (ou finance) et ont eu au moins une expérience dans un organisme de coopération internationale. La confidentialité est de rigueur, la proactivité également. Nos traducteurs se positionnent en véritables partenaires de vos projets.
Planète Urgence est une association reconnue d’intérêt général qui œuvre pour rendre leur autonomie aux populations locales.
Pour cela, deux actions principales :
L’envoi de volontaires en mission à l’étranger pour accompagner les populations qui le nécessitent. Les projets dans lesquels s’impliquent les volontaires sur le court ou long terme sont des projets mis en place avec les partenaires locaux qui doivent répondre à un ensemble de critères préétablis,
La reforestation et l’accompagnement au changement.
Pour mieux comprendre la nature des projets portés par Planète Urgence, je vous invite à consulter leur site internet.
Côté bilan, voici quelques chiffres pour vous donner une idée de l’ampleur du travail effectué (depuis 2000) :
– 10 000 volontaires partis sur le terrain,
– Plus de 1 000 projets soutenus,
– Distribution de 100 000 kits pour les écoles.
Vous êtes en accord avec les valeurs soutenues par TradOnline et souhaitez en savoir plus sur nos services ? C’est par ici !
Vous avez besoin de décliner un module dans plusieurs langues ? La fonction traduction de Storyline peut vous aider à répondre à ce besoin.
Voici les étapes à suivre :
Étape 1 : Exporter le texte source
Tout d’abord, exportez une copie du texte de votre projet
Storyline :
Cliquez sur le bouton rond Articulate dans le
coin en haut à gauche, sélectionnez « Translation » puis cliquez sur
« Export ».
Sélectionnez l’emplacement où vous souhaitez
enregistrer le texte exporté.
Nommez le document exporté.
Pour enregistrer le document exporté dans l’un
des formats mentionnés ci-après, utilisez la liste déroulante « Save as type » :
– Word
Document (*.doc) : si vous traduisez le texte manuellement, c’est
probablement la meilleure solution.
– Word
Document with Reference Column (*.doc) : il s’agit du même document
que le précédent mais avec une colonne supplémentaire. Ainsi, vous pouvez
toujours voir le texte original et vous y référer.
– XML Localization
Interchange File Format (*.xliff) : si vous utilisez un service de
traduction ou un logiciel, vous trouverez sans doute ce format plus pratique.
Cliquez sur le bouton « Save ».
Conseil : Lorsque le module à traduire contient des listes à puces ou des listes numérotées, nous vous recommandons d’utiliser le format XLIFF. Le logiciel Word peut altérer la mise en forme ou les espaces dans les listes.
Étape 2 : Traduire le texte exporté
Après l’exportation du texte depuis votre projet Storyline, utilisez
le document Word ou le fichier XML pour traduire le texte. Vous pouvez le
traduire manuellement, ligne par ligne, ou utiliser un service de traduction ou
bien un logiciel.
Si vous traduisez le texte manuellement, vous préférerez
sans doute le faire à partir d’un document Word. Quelques informations
importantes dans ce cas :
– Modifiez seulement le texte de la colonne « Translate
this column. » Ne modifiez pas le texte contenu en-dehors de celle-ci.
– Ne traduisez pas les références des variables des
diapositives de résultats telles que %Results.ScorePoints%.
– Si vous modifiez le format du texte (police, taille, couleur,
style, alignement, etc.), ces changements seront répercutés dans votre projet
lorsque vous importerez le fichier dans Storyline.
Si vous utilisez un service de traduction ou un logiciel, vous trouverez sans doute le fichier XML (*.xliff) plus pratique.
Étape 3 : Importer le texte traduit
Lorsque vous avez terminé la traduction, importez le
document Word ou le fichier XML dans votre module Storyline :
Créez une copie de votre projet Storyline de départ pour y intégrer la nouvelle langue.
Ouvrez le nouveau projet dans Storyline.
Cliquez sur le bouton rond Articulate dans le coin en haut à gauche, sélectionnez « Translation » puis cliquez sur « Import ».
Sélectionnez le document Word ou le fichier XML qui contient la traduction et cliquez sur « Open ».
Lorsque le message « Congratulations » apparaît, cliquez sur « OK ».
Relisez le texte importé pour vous assurer que tout est à sa place dans le module et faites les modifications nécessaires. Dans certaines langues, les mots et les phrases sont plus longs ; vous aurez donc peut-être besoin d’agrandir l’espace dédié au texte ou de réduire la taille de la police.
Étape 4 : Localiser le lecteur Storyline Player
La fonction traduction de Storyline vous permet de modifier
le contenu d’une diapositive. Vous aurez peut-être aussi envie de personnaliser
les zones de textes du lecteur. Les zones de textes permettent de localiser les
boutons, les onglets, les messages et d’autres éléments du lecteur dans
d’autres langues.
Nous sommes régulièrement sollicités par nos clients pour de la traduction de fichiers PDF, c’est pourquoi je souhaite aujourd’hui faire un point sur ce format de fichiers.
Bien entendu, nous pouvons accepter ce format de fichiers,
mais il y a tout de même quelques spécificités à connaitre.
Tout d’abord, qu’est-ce qu’un document PDF ? Ce sigle veut
dire Portable Document Format, et il permet de garantir l’affiche à l’identique
d’une présentation, quel que soit le programme utilisé pour ouvrir ce fichier.
C’est un avantage indéniable pour l’auteur du document mais en revanche ce
n’est pas pratique pour votre agence de traduction !
Il existe 2 grandes catégories de fichiers PDF : les
fichiers PDF numérisés et les fichiers PDF modifiables. Les PDF issus d’un scan
ne sont non éditables de prime abord.
Les PDF issus de scan nécessitent l’intervention
d’un logiciel d’OCR pour pouvoir en extraire le contenu. Grâce à une
reconnaissance optique de caractère, ce type de logiciel peut reconnaitre les
mots d’un document scanné. Cette technologie ne permet pas de traiter toutes
les langues de manière uniforme (elle fonctionne grâce à un dictionnaire), mais
ce peut être une aide précieuse dans certains cas.
Les documents mal scannés, flous, tachés,
écrits à la main, ne sont pas convertibles.
Les PDF modifiables eux, sont souvent des
documents qui ont été créés sous un logiciel de la suite Office ou du pack
Adobe. On reconnait les PDF modifiables assez facilement car il est facile de
sélectionner le texte dans ce type de fichier.
En revanche, il est possible de trouver des images non
éditables, y compris dans un PDF modifiable !
Je vous ai perdu là ?
Prenons un cas pratique : imaginez un document PPT que
vous auriez convertis en PDF pour l’envoyer à votre client. Votre client
souhaite le faire traduire car il maitrise mal le français (ce n’est pas sa
langue maternelle). Il va donc envoyer ce PPT à TradOnline.
J’ouvre ce fichier PDF, je vois qu’il y a pas mal de
tableaux et de photos, ce qui me met la puce à l’oreille. Après analyse
approfondie, je vois que les tableaux proviennent de copier/coller depuis Excel
et que les images correspondent à des impressions d’écran. Typiquement dans ce
cas-là, s’il y a du texte dans ces images, je ne vais pas pouvoir l’extraire,
et si mon client souhaite le faire traduire, ce sera sans remise en page.
Pour remettre en page à l’identique des tableaux ou photos,
il est nécessaire que nous ayons en mains les fichiers sources originaux.
Dernière chose, pourquoi TradOnline me propose souvent un
tarif de remise en page quand je fais traduire des fichiers PDF ? Nos
logiciels d’aide à la traduction permettent de traiter ce type de formats, mais
en revanche selon le taux de foisonnement d’une langue à l’autre, la mise en
page en pourra en être affectée. A chaque nouveau projet nous faisons un test,
et si le test n’est pas concluant, nous vous proposons un coût de remise en
page à l’identique.
En résumé : OUI nous acceptons des fichiers PDF mais si
vous avez en mains un autre format pour vos documents, pensez à bien nous le
transmettre également !
J’espère que cette explication n’est pas trop confuse, si
vous avez des questions, n’hésitez pas à revenir vers moi.