Pour être crédible et être sûr que le message que l’on souhaite faire passer soit bien compris, voici 5 conseils pour éviter les erreurs lorsque vous souhaitez communiquer en anglais :
1/ Ne pas calquer les règles du français sur l’anglais.
Cela concerne aussi bien l’orthographe que la grammaire, la syntaxe, la typographie ou bien encore la ponctuation.
Ci-dessous quelques exemples de différences fondamentales en anglais:
l’adjectif se place devant le nom et reste invariable
Les noms propres ne s’écrivent jamais en Majuscule (uniquement la première lettre),
Les mois et les jours de la semaine commencent toujours par une majuscule
Le nombre est toujours précédé de la devise
Pas de ponctuation dans les listes à puces
On n’utilise jamais de futur après « when » …
etc …
Vous l’aurez compris, les règles de la langue de Shakespeare ne sont pas les mêmes que celles de la langue de Molière. Donc, on ne peut pas traduire de manière littérale, pas le choix, il faut apprendre les règles de l’anglais !
2/ Faites attention aux faux-amis
La liste des faux-amis anglais/français est longue alors, quand on construit sa phrase en anglais, il ne faut pas hésiter à s’interroger quant au choix de certains termes qui pourraient nous paraître trop évidents, car c’est là toute la subtilité du faux-ami 🙂
Quelques exemples très fréquents :
library (= bibliothèque et non pas librairie)
a figure (= un chiffre et non pas une figure)
attend (= assister et non pas attendre)
bachelor (= célibataire et non pas bachelier)
character (= personnage et non pas caractère), etc …
Nous avions aussi, il y a plusieurs années, créé quelques vidéos sur le sujet, sur notre chaîne YouTube. Elles sont un peu vieilles et leur look n’est pas au goût du jour, mais n’hésitez pas à consulter la vidéo ci-dessous, elle donne des exemples de faux-amis amusants 🙂
Ce sont ces mots que nous utilisons, basés sur l’anglais, et dont les français sont très friands mais qui n’existent pas en anglais :
un parking
un camping
faire du forcing
un tennisman
un rugbyman
etc …
Pour perdre toute crédibilité il n’y a pas mieux !
D’autres anglicismes plus courants sont en revanche tout à fait corrects en anglais et ils sont très nombreux : week-end / best-of / être has been / checker ses emails / etc …
4/ Simplifiez vos phrases
Ne cherchez pas à utiliser un vocabulaire trop soutenu et construisez plutôt des phrases courtes.
Il faut bien avoir en tête que plusieurs idées simples mises bout à bout seront toujours plus faciles à comprendre qu’une phrase interminable et limitera d’autant plus le risque de faire des erreurs !
C’est particulièrement vrai en anglais, dans une culture plus axée sur l’efficacité et sur l’idée que le « temps est de l’argent » mais cela vaut également en français d’ailleurs!
5/ Essayez de penser votre phrase en anglais
Plutôt que de vous lancer dans une traduction simultanée approximative, au risque de la rendre très lourde et au final dénuée de sens, tentez l’exercice (stimulant intellectuellement au passage) de penser directement en anglais.
Avec ces quelques conseils en tête, vous devriez vous en sortir 🙂
Pour des communications plus professionnelles, officielles et qualitatives, nous serons toujours là pour vous aider !
Chez Trad Online, nous travaillons avec des clients de tous secteurs d’activité, mais dont beaucoup travaillent de près ou de loin avec Internet. Cela signifie qu’ils ont souvent une stratégie de contenus pour le Web, intégrée à leur marketing digital au sens plus large.
Afin de définir ce qu’est une stratégie de contenus Web : il s’agit de la démarche structurée de marketing auprès de ses prospects et clients, sur Internet, en proposant une variété de contenus réguliers qui répondent à leurs questions et besoins concernant votre entreprise et produits. Les types de contenus ? La liste est longue : sondage, tutoriel, vidéo publicitaire, article de blog, photos sur Instagram, tweets sur Twitter, infographie, présentations Powerpoint, livres blancs marketing, enquête, jeux-concours, interviews…
Nous vous proposons dans cet article, dédié aux sociétés qui se lancent dans le marketing digital et dans la mise en place d’une stratégie de marketing de contenus, 6 points-clés à garder en tête. Basiques mais importants !
1. Se fixer des objectifs pour sa stratégie de contenu
Dans cette première phase, essentielle, vous devez vous poser la question : quels objectifs souhaite-t-on obtenir en dépensant du temps et de l’argent dans notre marketing digital, et plus particulièrement notre marketing de contenu ?
Veut-on faire connaitre notre offre ? Générer de manière rapide des prospects ? Recruter de nouveaux salariés pour faire face à notre croissance rapide ? Donner des tutoriels aux clients existants, ou être présents pour les clients dans le cadre du SAV ?
Et ensuite de manière plus détaillée : veut-on obtenir ces résultats d’ici 1 mois, 3 mois ? Avec quel niveau de budget et d’investissement ? Qui réalisera la production des contenus (une agence ou des salariés en interne) ? Quel sera le rythme de publication de contenus ? etc.
La mise en ligne de vos objectifs, du délai de réalisation et du budget disponible vous permettront de mettre sur pied une stratégie de contenu pertinente et adaptée.
2. Attaquer les lieux de présence les plus impactants
Les endroits où vous pouvez créer et ajouter du contenu sur Internet sont innombrables.
Que ce soit des réseaux professionnels tels que Viadeo, Linkedin ou Xing, des réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter, le Social Media vous donne le choix ! Mais ce n’est pas tout, vous pouvez créer une chaine de vidéos sur Youtube ou Dailymotion, vous pouvez héberger votre propre blog d’entreprise (comme celui sur lequel vous naviguez actuellement) ou encore ajouter des présentations sur Slideshare.
Ce qui compte vraiment parmi toutes ces solutions, c’est de vous concentrer sur 1 ou 2 lieux (pour commencer) qui auront vraiment un impact pour votre entreprise. Si vous vendez un produit très technique, destiné à être vendu à de grandes entreprises, être présent sur un réseau social comme Facebook aura beaucoup d’impact pour votre stratégie de contenu que d’avoir une page entreprise sur Linkedin. A l’inverse, si vous vendez des bijoux, mieux vaut être présents sur Youtube et Facebook.
3. Ajouter de la vidéo !
La vidéo est en train de devenir le media le plus recherché par les internautes. Il suffit de savoir que Youtube draine le plus de recherches sur Internet dans le monde (après Google) pour comprendre que nous sommes tous attirés par la vidéo. D’ailleurs, plusieurs études montrent que d’ici 2018, ce media deviendra central dans toute stratégie de contenu d’entreprise. Ces études montrent aussi que les investissements par les entreprises dans la publicité au format vidéo sur Internet va exploser d’ici 2017.
Il n’est pas nécessairement complexe ni couteux de réaliser des vidéos d’entreprise. Trad Online vous en propose et ne dispose pas du budget d’une grande entreprise pour les réaliser. Ce qui compte, selon nous, est de faire les choses avec authenticité et plaisir ! Bien sûr, si vous avez un budget plus important et plein d’idées en tête, la vidéo vous permettra de montrer votre créativité à vos clients, qui n’en seront que plus attirés par votre marque.
4. S’adapter à son audience
Ce point rejoint le point 2 : il faut bien définir les attentes et comportements de votre clientèle ou population cible. Plus vous parlerez le langage de votre cible, mieux vous pourrez échanger avec elle avec succès.
Si votre cible est une population d’ingénieurs, mieux vaut leur proposer des contenus techniques, qui leur permettent d’obtenir des idées ou réponses à des problématiques d’ingénieurs. Si vous vendez de la traduction professionnelle à des responsables marketing de startups, mieux vaut leur montrer que vous vous intéressez aussi au marketing de contenu 🙂
Enfin, et nous ne pouvons faire l’impasse sur ce point, central pour nous dans une stratégie de contenus réussie : une écrasante majorité de l’humanité souhaite pouvoir parler, lire et écouter dans sa langue maternelle. Devoir échanger dans une langue étrangère représente toujours un effort, qui peut être négatif pour tout effort marketing. Donc, si vous créez du contenu pour Internet (texte, vidéo) et que vous avez une cible de clientèle à l’international, pensez à le traduire ou localiser pour vous adapter à vos clients. Si vous n’avez pas le budget pour tout traduire, notez les contenus qui ont le plus de succès en français, et traduisez uniquement ceux-là dans un premier temps. Bien sûr, notre équipe est à votre disposition pour vous aider !
Comme nous l’indiquions en introduction de cet article, les types de contenus sont très variés. Nous pensons qu’il est important de varier ceux-ci dans le cadre de votre plan d’action, afin de pouvoir tester les types de contenus qui donnent les meilleurs résultats, c’est-à-dire ceux qui vous permettent d’atteindre vos objectifs.
Vous pourriez par exemple commencer par produire quelques vidéos sur Youtube, et évaluer dans la foulée si votre audience s’y intéresse. Si ce n’est pas le cas, tentez d’échanger via les commentaires, afin d’évaluer ce que vous pourriez améliorer, puis passez à un autre type de contenu, et poursuivez vos recherches pour déterminer ce qui plait le plus à votre clientèle.
Attention toutefois, dans une stratégie de contenu, certains sont beaucoup plus chers à produire que d’autres (un article de blog représente en général 10 fois moins d’efforts qu’un livre blanc!).
6. Faire du SEO, mais travailler pour ses lecteurs
Rappelez-vous d’une chose principale : le contenu est roi ! Si vous avez tout bien étudié et mis en place, que le SEO est parfaitement géré, mais que lorsqu’après tous ces efforts, les lecteurs de votre article de blog, ou les internautes qui visionnent votre vidéo, n’y trouvent aucun intérêt, alors tout cela n’aura servi à rien 🙂
Donc oui, il faut travailler le SEO (Optimisation pour les Moteurs de recherche), dont Jimmy nous a parlé récemment sur notre chaine Youtube (cliquez ici pour voir la vidéo). Mais cela ne doit pas se faire au détriment de la qualité du contenu (texte, image ou vidéo) que vous produisez !
Vous l’aurez certainement noté au sein de votre entreprise, l’utilisation d’anglicismes est de plus en plus fréquente. Mais c’est également au quotidien que ces termes sont utilisés, même par les Français n’ayant qu’une connaissance très basique de l’anglais. Pour contrer cela, la commission générale de terminologie et de néologie a dressé une liste de termes alternatifs.
La commission générale de terminologie et de néologie : qu’est-ce que c’est ?
Il s’agit d’une assemblée de bénévoles dont la mission est d’enrichir la langue française. Créée en 1996, elle vise à favoriser l’usage du français dans des domaines très divers comme ceux de l’économie, de la science ou encore de la technique. Elle travaille de concert avec l’Académie française, leur rôle étant de valider les propositions des commissions spécialisées de terminologie et de néologie. Car le monde évolue et il est indispensable de créer des termes pour décrire de nouveaux produits ou de nouvelles pratiques. Prenons un exemple concret avec le monde de l’automobile. Depuis de nombreuses années, on parle de carburant, d’essence, de diesel. Mais les évolutions écologiques ont poussé la commission à inventer de nouveaux termes. On parle ainsi de biocarburant ou de biogazole. La mission de la commission générale de terminologie et de néologie a également pour vocation de trouver des alternatives aux anglicismes qui alimentent chaque jour nos conversations.
Quelles sont les alternatives aux anglicismes ?
Lorsque les évolutions de notre société viennent des pays anglophones, les termes inventés dans ces pays sont bien souvent réutilisés en l’état en France. Et cela peut très vite s’avérer perturbant pour les non anglicistes. Tout le souci de la commission est de trouver des alternatives. Car si, pour certains termes, il est très facile de trouver un équivalent français, pour d’autres cela s’avère plus compliqué. Prenons quelques exemples du monde du travail. Si les Français sont fiers de monter une start-up, on les imagine mal dire qu’ils sont à la tête d’une jeune pousse. Difficile également d’imaginer demander à quelqu’un s’il a bien vérifié ses pourriels au lieu de ses spams. Le terme « courriel » a été créé pour remplacer le mot email ; or, force est de constater que les Français utilisent toujours le terme anglais. En revanche, certains mots peuvent aisément être francisés. Entre envoyer une newsletter et envoyer une lettre d’information, cette fois la traduction semble plus naturelle et certaines personnes utilisent le terme français. La commission générale de terminologie et de néologie a dressé une liste de termes que l’on pourrait parfaitement traduire au lieu d’utiliser en permanence les anglicismes. Découvrons quelques exemples simples :
– Je vais faire du running / je vais courir – Avoir des news / avoir des nouvelles – Replay / rediffusion – Process / procédé – Updater / mettre à jour – Asap (as soon as possible) / dès que possible – Speeder / se presser – Challenge / défi – Booké / occupé
Pour certains termes, la commission générale de terminologie et de néologie préfère ne pas donner d’équivalent. Cela se justifie par l’utilisation à tort et à travers de mots qui, à l’origine, avaient une signification bien spécifique. Prenons par exemple le terme « borderline ». Utilisé en psychiatrie, il signifie « personnalité limite ». Or, aujourd’hui, tout devient borderline, impossible donc de lui trouver un équivalent qui s’adapte à toutes les situations.
Vous l’aurez noté, le travail de la commission générale de terminologie et de néologie est fastidieux et l’évolution de la société et des comportements ne fera que compliquer sa tâche. Trouver ou non des alternatives aux anglicismes, conserver des termes entrés dans les mœurs, la décision revient à ces spécialistes de la langue française.
Pour en savoir plus sur la terminologie, cliquez ici.
Nous avons tous l’impression de savoir ce qu’est une agence de traduction mais dans la réalité, sait-on réellement quelles sont ses missions, comment elle fonctionne, quel est le tarif d’une traduction ? Tout ceci varie d’une structure à l’autre, découvrons ensemble comment ça se passe chez TradOnline pour avoir un exemple plus concret.
Quelles sont les missions d’une agence de traduction ?
Nous l’avons évoqué en introduction, difficile ici de traiter ce sujet de manière générale, entre les grosses structures et les indépendants, les missions d’une agence de traduction peuvent varier. Chez TradOnline, voici ce que nous proposons à nos clients.
Traduction :
Jusqu’ici, pas trop de surprise nous direz-vous ! Traduction français-anglais, traduction anglais-français, traduction français-espagnol, traduction espagnol-français… bon, arrêtons-nous là. Chez TradOnline, nous proposons des traductions de ou vers les langues les plus parlées à l’image des langues précitées, mais également le chinois, le malais, l’arabe, le russe, et bien d’autres. Les documents traduits sont de toute nature : traduction juridique, traduction de page web, traduction médicale, documents marketing, etc.
Relecture :
Si vous avez vous-même traduit un texte ou que vous disposez d’une traduction que vous souhaitez vérifier, la relecture est réalisée par des traducteurs qui pourront apprécier la qualité de la traduction et s’assurer que le texte est conforme à vos attentes. Le texte doit ainsi être fluide et correspondre au sens du texte d’origine.
Révision :
La révision va plus loin que la relecture. Il s’agit ici de reprendre la traduction point par point et de la corriger. Selon le volume du texte à traduire et de la qualité de la traduction que vous fournissez à votre agence de traduction, il est parfois plus judicieux de repartir de zéro.
Comment fonctionne une agence de traduction ?
Là encore, pour notre part, nous avons mis en place un fonctionnement qui nous permet de bien cerner les besoins de nos clients et d’y apporter la meilleure réponse possible. L’aspect humain nous semble essentiel, notre volonté n’est pas d’être des machines à traduire mais bel et bien une agence de traduction. Nous apportons une réponse sur-mesure en fonction des besoins du client. Notre équipe commerciale prend contact avec les clients qui sont ensuite redirigés vers des chefs de projet soucieux de bien comprendre la problématique de chacun et la raison pour laquelle un besoin en matière de traduction se fait sentir. Ensuite, dès lors que les besoins des clients sont cernés, un devis est établi. Lorsque celui-ci est accepté, nous confions la traduction aux traducteurs les mieux à même de prendre en charge ce travail selon leur langue maternelle, les langues qu’ils maîtrisent mais également selon leurs compétences. En effet, une agence de traduction digne de ce nom ne confie pas un texte juridique à un traducteur spécialisé dans le domaine médical par exemple.
Quel est le tarif d’une traduction ?
Voilà la grande question que tout le monde se pose. Soyons honnête, nous n’allons pas ici vous dévoiler tous nos secrets, nous vous laissons prendre contact avec nous afin que nous puissions avoir le plaisir d’échanger ! Mais surtout, il est impossible de donner un tarif puisque celui-ci tient compte de différents paramètres. Langue source, langue cible, volume de travail, délai, collaboration à long terme, tout ceci entre en ligne de compte au moment d’établir un devis de traduction. Encore une fois, pour répondre au plus juste à vos besoins et vous proposer un devis de traduction tout à fait conforme à vos attentes, contactez-nous.
Vous l’aurez noté, notre agence de traduction a sa propre manière de fonctionner. Certaines agences n’effectuent pas les mêmes missions et ne réalisent que de la traduction. Certaines privilégient quelques langues, quelques secteurs d’activités. Enfin, en termes de tarif de traduction, là encore, les prix sont librement fixés par chaque intervenant, une demande de devis de traduction sera la meilleure solution pour faire votre choix.