Acheter une société de traduction – merci à la CCI pour ses tarifs & appel à candidats vendeurs de leur entreprise

Acheter une société de traduction – merci à la CCI pour ses tarifs & appel à candidats vendeurs de leur entreprise

Bonjour à tous chers lecteurs de notre blog !

Mathieu, le gérant de Trad Online, actuellement en recherche de sociétés à acquérir pour permettre à Trad Online de grandir. 

Dans ma recherche, j’ai trouvé des offres d’intérêt sur le site « passer le relais » http://www.passerlerelais.fr/ géré par la CCI d’Ile de France, et en ai sélectionné quelques-unes puis émis des demandes d’informations par email.

Un agent de la CCI m’a répondu début Avril et un RDV téléphonique s’est organisé, très utile pour avoir un premier niveau d’information.

Quelle surprise ensuite d’apprendre qu’une cotisation annuelle de 450 Euros (pas 45…ni 100 mais bien 450 Euros !) est requise par la CCI (organisme public faut-il le rappeller, dont le but est de promouvoir le commerce et l’industrie donc l’économie), pour être mis en relation avec le cédant de l’entreprise, même s’il n’y a qu’une entreprise d’intérêt pour le repreneur…

Un tarif exhorbitant, même en comparaison avec les concurrents privés comme fusacq.com.

Un tarif adapté pour des repreneurs professionnels, qui achètent plusieurs entreprises par an et souhaitent consulter des dizaines d’annonces, mais tout simplement absurde pour une petite entreprise qui souhaite tenter l’aventure de reprendre une seule entreprise.

La CCI est financée par les impôts et taxes (que nous payons tous), et à ce titre devrait proposer des tarifs plus compétitifs voire gratuitement.

Le rôle que se propose d’avoir la CCI avec ce service (très utile) est « tué dans l’œuf », car pour reprendre une petite entreprise, en difficulté financière (comme dans le cas envisagé ici, et comme c’est le cas malheureusement de beaucoup d’entreprises), quel repreneur souhaiterait avoir la barrière supplémentaire de payer 450 Euros pour obtenir de l’information sur une entreprise, sans évidemment savoir si celle-ci est réellement d’intérêt ?

Et alors que l’entrepreneur a ensuite un parcours du combattant à gérer s’il souhaite reprendre l’entreprise…

Bravo à la CCI pour son optimisation économique, totalement contraire à son objectif de service public aux entreprises.

Si vous vous reconnaissez dans ces annonces, n’hésitez pas me contacter directement pour échanger sur votre projet de revente de votre société :

http://www.passerlerelais.fr/recherche/voir/reference/94C3822

http://www.passerlerelais.fr/recherche/voir/reference/75C5742

http://www.passerlerelais.fr/recherche/voir/reference/75C5818

http://www.passerlerelais.fr/recherche/voir/reference/75C4763

Si vous êtes chef d’entreprise dans le secteur de la traduction/interprétation/doublage sous-titrage, et souhaitez vendre votre société, n’hésitez pas à me contacter.

m.marechal@tradonline.fr

A bientôt J

Mathieu et l’équipe Trad Online

Les mésaventures de Mango ou les bracelets esclaves

Les mésaventures de Mango ou les bracelets esclaves

Voici un cas d’école des dégâts que peut causer une mauvaise traduction sur l’image d’une marque. Ca n’est pas la première et malheureusement pas la dernière ! Nous vous proposons ici une petite analyse linguistique de ce qui a déchaîné les passions sur les réseaux sociaux, à savoir ce qu’il faut savoir sur ces fameux « bracelets esclaves ».

Que s’est-il passé ?

Tout a démarré d’une pétition qui dès lundi reccueillait plus d’un millier de signatures et qui depuis a fait boule de neige – non seulement sur les réseaux sociaux, mais sur les plus grands médias français (au hasard et dans le désordre : Le Point, Le Monde, LCI, Le Nouvel Obs… entre autres) mais aussi SOS Racisme ou le Conseil Représentatif des Associations Noires ! Tout le monde s’y met et y va de son mot de condamnation. En cause, ces bijoux :

Le point de vue du linguiste

Vous le savez probablement, Mango est une marque espagnole. Les textes source sont donc vraisemblablement écrits dans cette langue. Or « esclavo » dans cette langue décrit bien un type de bracelet, et c’est même la Real Academia Española qui le dit (voir les points 5, 6 et 7). En français cela se traduirait par le terme « jonc », si l’on veut être précis. Cependant l’usage semblerait désigner aussi des gourmettes, si l’on en croit Google avec la requête « esclavas de oro » – ces deux usages désignent bien ici les types de produit que propose Mango.

L’étymologie du mot ne fait aucun doute, mais pour autant ce terme est passé dans le langage courant et n’apparaît pas comme étant particulièrement connoté pour un espagnol. En français, la dénomination « esclave » n’existe pas en bijouterie, donc la seule association d’idées possible pour le lecteur est l’esclavage, au sens historique du terme ; il n’est donc pas très étonnant que la plupart des internautes s’en offusquent.

On voit bien ici les aléas de la traduction, même réalisée par une personne et pas par une machine : il est indispensable de solliciter un traducteur maîtrisant à la fois langue et le contexte culturel, donc un natif du pays cible. Visiblement en anglais la bévue a été évitée puisque le terme choisi est « woven bracelet ». Dommage que la traduction française ait été aussi maladroite.

Le point de vue du community manager

Nous avons choisi de parler de « traduction maladroite » et non d’accuser la marque de tous les maux. Ce qui est problématique ici c’est le peu de crédit accordé à Mango quand la marque signale qu’il s’agit bien d’une erreur de traduction sur Twitter et corrige immédiatement les descriptifs incriminés. La plupart des détracteurs ne croient pas une seconde à cet argument sans avoir les moyens de juger de la pertinence de ceux-ci. Alors est-ce le besoin de se racheter une conscience, de défendre une cause avec un investissement zéro ou d’avoir l’impression de faire partie d’une grande communauté de redresseurs de torts ? Ou plus prosaïquement, parce que la dictature du clic partage a encore frappé ? Levez la main ceux qui ont été vérifier la crédibilité de l’argument « erreur de traduction ».

Nous en profitons pour rappeler qu’il existe en français un type de maillon qu’on appelle « maille forçat » et que cela ne choque personne, malgré les milliers de morts dans les bagnes français. Tant qu’à être politiquement correct, soyons-le jusqu’au bout !

Par ailleurs les critiques ont fusé sur les bijoux eux-mêmes, alors que des chaînes en maille comme celles présentées ici on en trouve des centaines de milliers différentes et qu’elles ne représentent pas (ou plus) un attribut de l’esclavage. Sinon il y a fort à parier que les fabricants de gourmettes auraient déjà mis la clé sous la porte.

Quelle conclusion tirer de tout ceci ? Faites appel à des professionels pour vos travaux de traduction, ne sous-estimez pas l’impact d’une mauvaise traduction sur votre image, vos ventes et votre chiffre d’affaires !

Les langues de travail des interprètes : A, B ou C

Les langues de travail des interprètes : A, B ou C

Comprendre la classification des langues de travail des interprètes

Peut-être avez-vous déjà vu ces lettres figurer sur le site internet d’un interprète, et vous êtes-vous demandés à quoi correspondait A, B ou C ?

Il s’agit des combinaisons linguistiques traitées par cet interprète :

  • Langue A = langue maternelle
  • Langue B = deuxième langue dite active
  • Langue C = langue dite passive

La maîtrise de la langue maternelle (langue A) doit être aussi intime que possible (nuances, richesse du vocabulaire, références culturelles, …) et doit correspondre à un niveau que l’on pourrait qualifier de « lettré ».

La langue B est qualifiée de « langue active ». L’interprète maîtrise parfaitement cette langue, ce qui lui permet d’interpréter vers cette langue, à partir de sa langue maternelle. A vers B donc.

La langue C, dite passive, est la troisième langue de travail de l’interprète. Il ou elle peut interpréter à partir de cette langue vers sa langue maternelle. Donc de C vers A.

Vous voilà maintenant plus outillés face aux annotations suivantes : B>A ; A>B ; C>A ; C>B, etc…

Attention tout de même, il est préférable de ne pas opter pour un interprète devant travailler dans la combinaison C>B, mieux vaut toujours privilégier un professionnel qui travaille vers et à partir de sa langue maternelle.

Maintenant que vous savez à quoi correspondent ces langues de travail, peut-être souhaitez-vous savoir si TradOnline peut vous proposer des langues qui vous intéressent ? Pour le savoir, rien de plus simple, il suffit de nous contacter.

Comment diminuer les coûts de traduction de manière intelligente ?

Comment diminuer les coûts de traduction de manière intelligente ?

La traduction est souvent la dernière étape d’un processus de rédaction / publication parfois long et complexe. Il reste donc (parfois) (bon, souvent) peu de budget pour la traduction, qui intervient fatalement en dernier lieu, une fois le budget entièrement consommé le texte source entièrement finalisé.

La course à l’échalote visant à mettre en concurrence et tirer vers le bas les tarifs des prestataires est une option couramment pratiquée, même si pourtant toutes les agences de traduction ne se valent pas (comment bien choisir son agence de traduction fera l’objet d’un prochain billet, mais en attendant vous pouvez à nouveau parcourir notre panorama des types de prestataires) ! Et une bonne agence (comme Trad Online bien sûr) peut vous proposer des pistes pour diminuer les coûts de traduction, via quelques bonnes pratiques très simples. 

DO – Faire du tri ! 

Ceci vaut notamment pour les projets multilingues : tous les contenus ont-ils vocation à être traduits dans TOUTES les langues ? Si vous organisez un événement à Paris, êtes-vous sûrs de vouloir en informer vos lecteurs japonais en plus des belges et des britanniques ? Le règlement de votre jeu-concours valable en France uniquement doit-il être traduit ? Il est très possible de diminuer de manière drastique le nombre de mots à traduire (qui est l’unité de facturation).

Souvent donc, les contenus à teneur locale doivent être soit éliminés soit localisés (adaptés au contexte propre du lecteur ou utilisateur).

DON’T – Faire traduire par un collègue vaguement bilingue et/ou une machine et solliciter une relecture

LA fausse bonne idée par excellence pour diminuer les coûts de traduction. Les outils de traduction automatique sont encore très limités et il est important de comprendre qu’ils traduisent des mots là où un traducteur traduit du sens. C’est un peu la même chose pour une personne non native de la langue cible d’ailleurs : elle ne va traduire que des mots. Un traducteur professionnel va passer énormément de temps à corriger et réécrire le document en question, dans un style inexistant puisqu’il sera obligé de garder des éléments déjà traduits. Il va surtout la plupart du temps refuser, à juste titre.

Note : pour information, Google translate utilise l’anglais comme langue pivot. Si vous souhaitez traduire du français au roumain, Google Translate procédera à une « opération de traduction par équivalence » du français à l’anglais et de l’anglais au roumain. D’où une double source d’erreurs ou d’approximations.  

DO – Jouer sur le volume

Si vous avez énormément de contenu à traiter impérativement, annoncez tout de suite la couleur ! Même sans envoyer la totalité du contenu en une fois, un accord sur la durée peut inciter votre prestataire bien-aimé (nous, donc) à réduire les coûts. 

Sauf accord spécifique de type forfait, sachez qu’en deçà de 300 mots le prix d’une traduction sera le même (sauf exception) que l’on parle de 2 mots, 30 mots ou 280 mots et correspond à un minimum de facturation comprenant entre autres la gestion de projet et la gestion comptable. Donc autant que faire se peut : groupez vos demandes, vous y gagnerez. Donnez-nous de la visibilité et nous pourrons ainsi optimiser nos devis. 

DON’T – Faire pression ou jouer la corde sensible 

Quand ça va sans dire ça va mieux en le disant : toute entreprise a ses contraintes et problèmes financiers, ce n’est pas parce qu’on rencontre des difficultés qu’il faut les répercuter sur plus petit que soi… Une agence de traduction fait vivre des salariés (traducteurs, chefs de projet, etc.) et rémunère des freelances qui eux aussi ont des factures à payer. Un client régulier pourra bénéficier de certains aménagements, mais dans la limite de l’acceptable. Nous avons parfois des demandes de réduction, d’aménagement divers qui nous auraient mené au dépôt de bilan si nous avions courbé l’échine. 

DO – Proposer un partenariat ou un échange

Quand on a peu d’argent, on a peut-être d’autres moyens de rémunérer une prestation de traduction (le paiement en nature étant évidemment exclu ;)). Avez-vous une petite notoriété dans votre secteur qui vous permette de proposer une publicité sur laquelle nous apparaitrions ? Fournissez-vous du matériel ou des services qui pourraient nous être utile ? (ouvrages professionnels pour une maison d’édition, matériel informatique pour un fabricant, programmes de formation…) L’argent n’est pas la seule monnaie d’échange…  Vous pouvez suivre l’expérience bien connue des SEL et creuser la question des monnaies dites libres ou complémentaires.

Nous espérons donc que ces quelques conseils vous permettront d’envisager différemment votre prochain projet, et nous nous tenons à votre disposition pour vous aider ou pour toute demande de devis, cet article n’est pas exhaustif et nous avons bien plus d’idées et de créativité que ce qui est écrit ici… il faut parfois en garder « sous le coude » 😉

Optimiser son CMS pour la traduction

Optimiser son CMS pour la traduction

Cher client,

Comme vous le savez peut-être, deux options s’offrent à vous pour une traduction d’un site internet : produire une extraction de fichiers, ou laisser l’accès à votre interface de back-office aux traducteurs. Mais cette deuxième option n’est envisageable que si votre site est conçu avec un CMS (Content Management System) ou sur le même modèle.

CMS ?

C’est un outil de gestion de contenu vous permettant notamment d’ajouter, modifier ou supprimer des pages ou des textes de votre site, et si vous avez les droits complets, de l’administrer entièrement : gestion des utilisateurs, templates, etc.  Il en existe beaucoup sur le marché, les plus courants étant Joomla, Drupal, Typo3, WordPress, eZPublish, (entre autres). Il existe également tout une panoplie de CMS qui sont soit adaptés d’outils open source, soit intégralement développés « maison » pour répondre précisément aux besoins de l’entreprise.

systeme-gestion-contenu-traduction

Ils ont tous en commun la possibilité de créer un accès spécifique aux traducteurs avec des droits suffisants pour éditer le texte mais ne permettant (évidemment) pas de contrôler de toute l’administration.

Cette solution de traduction de site web est fort utile pour supprimer les coûts d’intégration. Un certain nombre de clients la retiennent notamment lorsque les volumes à traduire sont importants.

Cet article est un retour d’expérience suite à nos différents projets de traduction sur CMS. C’est aussi un petit quizz à l’usage des développeurs ou « customizateurs » de ce type de plateformes : pour les aider à rendre l’outil 100% translation-friendly !

Le CMS idéal pour une traduction de site web

Voici quelques critères avec un barème permettant d’optimiser son CMS pour la traduction et d’évaluer s’il répond bien aux besoins d’un prestataire en traduction !

I – Pour le suivi du projet ( /6 pts)

1. Attribue un statut de traduction à chaque page éditée : non traduit, en cours de traduction, traduit, relu (+ 1 point cadeau s’il propose aussi un statut de publication : publié / non publié) – /2 pts

Ceci évite que dans la précipitation certains textes incomplets soient mis en ligne ! La traduction est un processus non linéaire où les allers-retours sont fréquents, un texte peut avoir l’air fini et ne pas l’être

2. Enregistre et affiche les noms des traducteurs et relecteurs ayant travaillé sur un texte donné (traducteur / relecteur) avec les logs de connexion/1 pt

La confiance n’exclut pas le contrôle 😉

3. Compte le volume de contenus à traduire à chaque niveau d’arborescence – /3 pts

Les délais étant souvent courts, c’est un élément essentiel permettant le rétro-planning et le dimensionnement de l’équipe projet, et c’est aussi la garantie d’une facturation de la traduction (au mot) la plus juste possible

 

II – Pour la qualité de la traduction ( /7 pts)

4. Permet le travail sur des unités de texte importantes et/ou cohérentes : pages complètes ou blocs cohérents et non mots ou bouts de phrases isolées –  /3 pts

parce que traduire « le » ou « merci pour » sans savoir ce qui suit, c’est prendre le risque de voir des phrases reconstituées de manière un peu fantaisiste – c’est fort poétique parfois, mais le plus souvent peu compréhensible…

5. Permet de visualiser les contenus traduits en contexte sur le site en production (ou en pré-prod) – /2 pts

le contexte c’est la clé ! Essayez pour voir de traduire certains mots ou phrases sans contexte : panier = basket, cart, shopping bag ? suivant = désigné ci-après ou « qui suit quelque chose » ?

6. Inclut un glossaire intégré et incrémental, qui propose des suggestions pour tout terme déjà traduit sur le site ou dont on connaît déjà la traduction souhaitée – /2 pts

en résumé, cela imite, en mode très simplifié, ce que font les outils de TAO (aide à la traduction) disponibles sur le marché

III – Pour l’efficacité du projet ( /7 pts)

7. Sauvegarde les données saisies même en cas de problème serveur ; là, c’est du vécu ! – /2 pts

8. Est visuellement agréable à utiliser ; cela ne fait pas de mal, un peu d’esthétique – /1 pt

9. Est ergonomique : éviter 6 clics pour atteindre une phrase à traduire de 3 mots… – /2 pts

10. Ne présente aucun bug (hahahaha ; monde idéal) – /2 pts

 

La traduction de site web côté client

Nous venons d’évoquer l’outil. Mais allons plus loin. Nous avons aussi quelques souhaits concernant spécifiquement l’utilisation des CMS par nos clients. Dans ce type de projet, les interactions sont soutenues et vont au-delà d’un simple aller-retour de fichier… Alors, comment devrait procéder le client idéal ?

A. il prévient (à l’avance) de toute opération de maintenance

B. il ne modifie pas les contenus en cours de traduction, ne les supprime pas non plus

C. il a un interlocuteur expert sur l’outil en mesure de traiter tout problème (ou met en relation avec l’agence web qui administre le CMS)

Un client « absolument parfait » (*) spécifie bien sûr dès le départ la nature des utilisateurs cibles (un site web est par définition accessible à tous, mais ne s’adresse pas forcément à tous). Mais ceci vaut pour toute traduction : à qui se destinent les contenus à traduire.

Evidemment, les personnes ayant plus de 16/20 à ce test sont priées de prendre contact avec nous (voire même de nous envoyer une demande de devis au plus vite). Elles seront d’office considérées officieusement parmi les clients « gold » de Trad Online 😉

(*) : nous évoquons ici l’hypothèse du client « absolument parfait ». Il en est de même du côté traduction. Nous faisons l’hypothèse d’une agence de traduction « tout aussi absolument parfaite ». Disons que c’est implicite bien sûr…