par Alice Judéaux | 15 Déc 2017 | Nos services
La traduction de cours interactifs nécessite une spécialisation certaine car il faut non seulement maîtriser le domaine, mais également la technicité des animations et du support.
De plus, quand le contenu est à visée éducative, il faut redoubler de vigilance. La moindre erreur de traduction pourrait venir perturber l’information donnée à l’apprenant. C’est donc particulièrement technique.
TradOnline intervient notamment de plus en plus sur la traduction de tutoriels pédagogiques : transcription, traduction, sous-titrage ou voix off. Nous proposons un accompagnement global de nos clients sur ces sujets.
Tutoriels : quels domaines de spécialisation
TradOnline travaille notamment pour des MOOC de formation en ligne et des entreprises qui proposent plus généralement des solutions de eLearning.
La demande de nos clients porte avant tout sur la traduction de documents à connotation business, type :
- Gestion des conflits,
- Les nouvelles méthodes de management,
- La génération de trafic.
C’est-à-dire des sujets portants à la fois sur le développement personnel, la gestion d’un service, les ressources humaines ainsi que des spécificités métiers (webmarketing entre autres).
Pour répondre à ce type de besoins, nous disposons donc d’un large éventail de traducteurs !
Notre mission ? Fournir à nos clients un service complet allant de l’accompagnement linguistique au conseil technique en passant par la création de cours sous forme de vidéos (grâce à l’un de nos partenaires).
Diaporamas, autres supports pédagogiques : que devez-vous nous fournir ?
Je vous invite déjà à nous envoyer un exemple de diaporama de cours. Ensuite nous verrons ensemble ce qu’il est possible de faire en fonction de ce que vous souhaitez adapter.
En général nos clients nous transmettent un .ppt, un script ou des enregistrements audios.
Si toutefois le support de cours en français ne peut pas être traduit fidèlement dans la langue cible, alors nous pourrons en adapter le contenu.
Par exemple : certaines techniques de vente aux USA ne s’adaptent pas du tout en France. Pourquoi ? Les mentalités étant différentes, ce qui passe pour une bonne démarche aux USA peut passer pour trop intrusive en France. D’où l’intérêt de se questionner avant de se lancer tête baissée dans une traduction systématique !
En tant qu’experts de leur pays, nos traducteurs nous feront remonter ces incohérences. Selon l’importance des différences culturelles, nous vous inviterons à créer un nouveau support de toutes pièces ou à adapter le support actuel. Tous les cas de figure sont différents et il est parfois nécessaire de faire intervenir un expert étranger pour vérifier l’intérêt d’une traduction ou d’une localisation avant d’investir dans cette voie.
Création de présentations multimédias multilingues
Si toutefois vous n’êtes pas une plateforme de eLearning ou un organisme de formation et que vous souhaitez faire appel à nous pour la création d’une présentation multimédia multilingue, nous pouvons également répondre à votre besoin. Nous ferons appel à l’un de nos prestataires pour la rédaction de vos supports initiaux. Notre prestataire pourra intervenir de la rédaction de contenus à la création d’animations en passant par la sélection d’images adaptées à votre support.
Nos solutions sont ciblées, claires et parfaitement adaptées à votre besoin. Pour ce faire, n’hésitez pas à nous transmettre un cahier des charges très détaillé.
Pour aller plus loin…
Voici quelques-unes des phrases que vous lirez si vous faites appel à nous pour un doublage ou une incrustation de sous-titres audio :
- Repérage vidéo & préparation du texte
- Import, contrôle, simulation de sous-titres à partir de la traduction
- Encodage de votre vidéo avec sous-titres EN incrustés
par Alice Judéaux | 11 Déc 2017 | Etude de cas, Interviews
Ce mois-ci nous avons souhaité donner la parole à l’un de nos clients, très satisfait de notre travail. Ça fait du bien un peu d’immodestie parfois 😉
TradOnline : Bonjour Patrick Bazin, vous êtes directeur de production chez Mille Bases Editions et venez de faire appel à TradOnline pour la première fois. tout d’abord, merci d’avoir accepté cette interview ! En quelques mots, pourriez-vous me dire pour quel type de besoin vous vous êtes rapprochés de nous ?
Patrick : Nous étions sur un gros projet muséographique situé en Suisse. Le public est francophone et germanique, mais également international, car la Suisse est un pays très cosmopolite. Nous avions plus de 50 audiovisuels à rendre accessibles pour tous ces publics.
L’un des plus grands enjeux pour nous était de respecter nos contraintes scénographiques tout en respectant un planning de production très serré.
TradOnline : Comment l’agence TradOnline a-t-elle répondu à votre besoin ?
Patrick : Florie Ledard, votre chef de projets, a parfaitement compris nos besoins et s’est adaptée à notre façon de travailler. J’irai même jusqu’à dire que cette souplesse et cette réactivité ont sauvé le planning de ce projet ! Il faut savoir que quelques semaines seulement avant de contacter TradOnline, notre planning avait pris du retard, sans possibilités de négociation avec notre client. Les délais étaient donc extrêmement tendus. Florie m’a déchargé d’un gros poids car le planning des traductions a toujours pu correspondre avec les séances de voix off, de mixage et de post production pour toutes les langues étrangères.
TradOnline : Comment s’est déroulé le projet ?
Patrick : La difficulté de ce type de projet c’est que quand on commence à prendre contact avec un prestataire, on a encore très peu d’informations à lui communiquer ! Florie a donc su nous orienter, nous donner une estimation de budget bien en amont. Puis seulement au dernier moment, nous avons pu passer du vague à l’hyper précis. C’est au fil de l’eau que nous avons pu livrer les vidéos à doubler, et là aussi, Florie a su s’adapter à cette organisation pour le moins originale.
Les dates de livraison annoncées ont toujours été parfaitement respectées ce qui est un luxe dans notre métier. J’ai pu sereinement organiser la post production et la livraison du projet à notre client.
TradOnline : Votre chef de projet a-t-elle été à votre écoute ?
Patrick : Plus qu’à notre écoute. Comme le disait le président Chirac : « Les emmerdes arrivent toujours en escadrille » ou comme le disait également Mao Zedong « Dans le processus de développement d’un phénomène important, il existe toute une série de contradictions ». Mais ni Jacques Chirac ni Mao ne travaillaient avec Florie. Elle est capable d’annihiler toutes les petites contrariétés qu’impose la gestion des disponibilités des uns et des autres. Comment fait-elle me direz-vous ? Elle vous écoute avec empathie et vous apporte immédiatement des solutions, n’hésitant pas à modifier ses impératifs en fonction de votre projet.
De manière plus générale, TradOnline a su prendre le relais au moment où j’étais submergé.
TradOnline : Le résultat est-il à la hauteur de vos attentes ?
Patrick : Tout a été livré au client en temps et en heure. Mon client s’est montré très satisfait et le public n’a pas fait une seule remontée négative. C’est donc un véritable succès.
Je ne manquerai pas de faire appel à TradOnline dans le futur pour ce type de besoin ou pour des projets de traduction de toute autre nature.
J’ai trouvé en TradOnline un partenaire idéal !
Merci Patrick pour ce témoignage.
Si vous voulez en savoir plus sur Patrick et son entreprise, je vous invite à consulter le site de Mille Bases Editions.
Et pour mieux comprendre de quel « projet muséographique situé en Suisse » il s’agit, je vous invite à consulter cet article du figaro !
par Alice Judéaux | 4 Déc 2017 | Economie
Beaucoup d’agences de traduction vous proposent des prestations « pas chères » et « rapides », sans « prise de tête ». Mais faut-il s’en satisfaire ? Nous pensons que non ! Tout ce qui est « pas cher » n’est pas économique !
S’il vous est déjà arrivé de voir un trou apparaître après lavage dans un pull « pas cher », vous comprendrez de quoi je parle. Car changer de pull tous les mois à cause d’une faible qualité de matière, ça peut coûter bien plus cher que d’acheter un pull de qualité dès le départ ! C’est ce qu’on appelle l’obsolescence programmée…
Obsolescence programmée
On parle beaucoup du concept d’obsolescence programmée depuis des années. Les exemples ne manquent pas, notamment dans le domaine électrique avec le cartel Phoebus. Ce cartel d’industriels créé au début du 20e siècle s’est tout simplement mis d’accord sur la durée de vie de leurs ampoules, afin d’en vendre plus.
Le but est simple : plus un produit a une durée de vie limitée, plus le consommateur est susceptible de le renouveler rapidement, faisant ainsi fructifier les comptes des entreprises qui le commercialisent.
Mais ceci ne marche qu’un temps, car pour finir les consommateurs finissent par se rendre compte qu’ils sont pris pour des pigeons !
Et l’environnement dans tout ça ? C’est bien le problème, car à cause de l’obsolescence programmée d’un grand nombre de nos produits électroniques, nous jetons de plus en plus. Et jeter, c’est polluer un peu plus la planète.
Des alternatives à l’obsolescence programmée émergent un peu partout. Sur le site d’une communauté de réparation américain, on peut lire la devise suivante : « Réparer, c’est mieux que recycler. Réparer c’est sauver la planète. Réparer c’est économiser de l’argent. Réparer c’est apprendre. Vous ne possédez vraiment que ce que vous savez réparer. » iFixit, 2010.
L’équivalent français de cette plateforme s’appelle Commentreparer.com. Je vous invite à aller y faire un tour si ce n’est pas déjà fait !
Obsolescence programmée et traduction
Mais quel est le lien entre l’obsolescence programmée et la traduction me direz-vous ?
À cause de l’obsolescence programmée et du coût de plus en plus faible des produits vendus dans nos boutiques, c’est la qualité de toutes les matières premières qui en pâtit ! Or la traduction est une matière première tout comme le coton de vos pulls ou l’inox de vos casseroles.
Le problème c’est qu’en tirant sans cesse les prix vers le bas, la qualité est nettement en baisse également, y compris chez les traducteurs professionnels. Et comment les blâmer ? S’ils sont payés moins cher, ils vont passer moins de temps sur le projet ! Oubliez donc la recherche méthodique de terminologie, la relecture approfondie de leur travail, les remontées de questions, les prises de distance sur le sujet, etc.
Nul doute cependant que les mentalités évoluent sur ce sujet, dans le domaine de la prestation de service comme dans le domaine des biens d’équipements. Première initiative, le futur smartphone de Motorola anti-obsolescence.
La minute engagée : En seulement 12 ans, la planète a accueilli 1 milliard d’êtres humains supplémentaires, et la courbe exponentielle n’en est qu’à ses débuts. Nos sociétés occidentales vont devoir évoluer dans leurs comportements de consommation et d’achats.
D’autant que les BRICs (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) représentent 42 % de la population mondiale alors que ce ne sont pas eux qui consomment à outrance pour l’instant. Espérons que leur développement ne passera pas par cette phase-là !
Pour finir, je vous partage cette infographie de l’ADEME (L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) sur l’évolution nécessaire de nos modes de consommation.
TradOnline s’est toujours positionné en défenseur de la qualité et nous pensons réellement que ce positionnement a de beaux jours devant lui.
C’est d’ailleurs un positionnement que nous partageons avec de nombreux clients.
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par Alice Judéaux | 27 Nov 2017 | Ressources
Vous pensez que la traduction est à la portée de n’importe qui ? Et bien je compte vous démontrer le contraire ! D’ailleurs, si vous prenez votre projet trop à la légère, vous risquez quelques déconvenues.
Je vous invite à mettre en pratique les 5 conseils suivants pour éviter la catastrophe !
1 – Évitez les délais trop courts
Quand on leur pose la question « quel est votre délai », la plupart de nos clients nous répondent : « le plus tôt possible ». C’est tout à fait normal. C’est d’ailleurs notre rôle de leur expliquer quel est le délai raisonnable pour leur projet.
Mais parfois, même en sachant cela, certains clients nous contraignent à des délais excessivement courts. Quel est le risque ?
Comme un traducteur ne peut pas travailler deux fois plus vite, nous devons parfois scinder vos projets entre plusieurs traducteurs. Plus nous allons scinder votre projet, plus le risque d’incohérences est grand. Et ce même si nous utilisons memoQ pour mettre en place une mémoire de traduction et un glossaire ! Nous avons tous un style différent et il est parfois difficile de gommer les spécificités de notre plume. Quand le projet le permet, nous essayons de faire relire l’intégralité du dossier par un seul traducteur dont le but sera d’harmoniser le rendu global. Mais qui dit délais trop courts, dit souvent pas de temps pour une relecture !
Conseil numéro 1 : anticipez.
2 – Évitez les textes sources trop ambigus
L’ambiguïté peut être intéressante en littérature, mais dans un document technique, commercial, financier, elle est souvent toxique. Votre notice est ambigüe ? Vous risquez des retours de clients insatisfaits ! Je vous invite donc à faire relire vos productions par une personne externe à votre service, pour un regard neuf. Ainsi vous réduirez les risques de contresens possibles au moment de la traduction.
Précisons toutefois que nos traducteurs nous feront remonter une ambiguïté qui leur saute aux yeux. Mais les vrais contresens naissent de l’incapacité du lecteur à cerner cette ambigüité !
La note philo : nous appréhendons un texte avec notre propre bagage culturel. Or il est différent d’une personne à une autre. Pour éviter un tel écart de perception, il faut s’intéresser à l’altérité, et se mettre à la place du lecteur.
Conseil numéro 2 : relisez, simplifiez.
3 – Ne modifiez pas le document final
Dans cette rubrique je veux parler des traductions que nous vous livrons. Ne le niez pas, il arrive que les textes que votre agence de traduction vous livre soient corrigés par une tierce personne en interne ! Si vous travaillez en flux tendu et que votre directeur corrige les fichiers traduits lui-même, ceci se comprend parfaitement. Mais bien maîtriser une langue ne signifie pas forcément que l’on est réellement bilingue. Rien ne vaut une relecture finale par un natif. TradOnline ne peut que vous encourager à développer cette pratique. Il en va de votre image comme de la nôtre !
Je ne compte même plus le nombre de cas que j’ai rencontrés dans ma carrière ! Des packagings qui comportent des coquilles, des sites internet avec des CTA (call to action) plus que curieux, des tournures à la « Google translate » dans des CGV…et tout ça chez MES CLIENTS !!!
Conseil numéro 3 : évitez les économies de bout de chandelle
4 – Fournissez-nous des briefs
Sans un brief précis, il y a de grandes chances que notre traducteur soit à côté de la plaque en termes de style. Un bon brief ne doit prendre qu’une dizaine de minutes, mais il est essentiel. Une fois que la totalité de votre document aura été traduite, il sera trop tard pour rectifier le tir.
Quels éléments doit-on trouver dans un brief ?
- Lectorat cible: nous avons besoin de tous les éléments qui peuvent aider nos traducteurs à traduire et à transmettre votre message à votre cible
Exemple : âge, homme/femme, fonction, localisation géographique, lectorat B to B ou B to C, style amical/officiel, etc.
- Nature des contenus à traduire
Exemple : contenus pour diffusion interne/externe, documents de formation, information, commercialisation, marketing, appel d’offres, publication de rapports, etc.
S’il existe des « documents de référence » permettant d’assurer une cohérence entre notre traduction et les précédentes, tout en adoptant votre vocabulaire et culture d’entreprise, merci de nous les transmettre !
Autre option : on peut aussi vous envoyer un échantillon de la traduction pour validation en interne. Mais si vous n’avez pas de locuteur natif sous la main, vous aurez du mal à vous prononcer sur la pertinence du rendu.
Conseil numéro 4 : commencez par rédiger un bon cahier des charges.
5 – Impliquez-vous !
Oui ok, mais comment ?
Tout nouveau partenariat nécessite une période d’ajustement. Durant cette période, vous recevrez de nombreuses questions de nos traducteurs. Plus vous serez précis dans vos réponses plus la qualité de notre traduction sera bonne. Donc, prenez le temps de bien répondre à toutes les interrogations de nos traducteurs ! Même les questions les plus insignifiantes peuvent avoir un impact insoupçonné sur le rendu final.
Et si vous en avez marre de communiquer par email, vous pouvez également nous appeler. Nos gentilles chefs de projets se feront un plaisir de vous répondre. Nous sommes disponibles du lundi au vendredi de 9h à 17h.
Vous êtes plutôt Skype pour la réactivité ? Pas de problème, nous aussi. Vous trouverez l’identifiant Skype de votre chef de projet dans sa signature email. Sauf bien sûr, s’il n’assume pas son pseudo 😉
Sous-traiter la traduction ou la localisation de contenu permet de se libérer d’une charge. Surtout si jusqu’ici vous traduisiez en interne. Mais une bonne communication reste la base d’un bon partenariat avec votre agence de traduction.
Conseil numéro 5 : communiquez sans modération !
Objectif visé : 100% de satisfaction chez nos clients 
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par Alice Judéaux | 15 Nov 2017 | Métier
Notices techniques : ne faites traduire que l’essentiel !
Si vous prenez le temps de supprimer le superflu, vous serez surpris de découvrir qu’une notice de 500 pages peut aisément tenir en 250 ou 300 pages.
Mais comment ? Simplement en retravaillant le contenu, en supprimant les redondances et en segmentant la structure du document de manière plus intuitive. Car il est fort possible que de nombreux éléments de votre notice ne concernent pas le pays étranger ciblé.
Vous pouvez également faire comme Ikea et remplacer du blabla par de jolis dessins ! Car après tout, un bon schéma vaut mieux qu’un long discours.
D’ailleurs, Ikea a peut-être fauché l’idée au secteur de l’aéronautique où les pictogrammes remplacent systématiquement les consignes de sécurité et les indications d’orientation depuis des décennies.
À ce propos : avez-vous pensé à « tester » le nom de votre produit à l’export ? C’est un exercice intéressant, car si le nom de votre produit est une insulte en russe, vous n’arriverez pas à le vendre ! Nous vous conseillons donc de ne pas brûler les étapes. Il est important que votre étude préalable à l’export comporte cette étape.
Véridique : nous avons été amenés à traduire la notice d’une voiture électrique dont le nom signifiait « pipi » en allemand. Bien entendu nous avions signalé ceci au client, qui n’a pas pu faire marche arrière sur le nom de son véhicule étant donné les sommes déjà engagées au moment de cette discussion. Mais il y a fort à parier qu’ils vendent peu de produits aujourd’hui sur le marché allemand…
Notices techniques : le message est-il universel ?
De manière plus générale, nous vous invitons à vous poser dès le départ la question de la pertinence des contenus de votre notice technique pour les pays étrangers ciblés.
Selon les pays, les références culturelles ne sont pas les mêmes, et ce qui peut nous sembler être un acquis n’en est peut-être pas un !
Mais comment s’y retrouver ? C’est tout l’intérêt de faire intervenir un traducteur natif. Lui seul est à même de nous faire remonter ce qui ne colle pas entre votre produit et le marché ciblé. Mais évidemment, comme tout travail mérite salaire, c’est en général un peu plus cher qu’une simple traduction.
Quel prix est acceptable ?
Le prix d’une traduction peut être multiplié par 10, selon l’agence avec qui vous êtes en contact ! Entre les plateformes de traduction délocalisées et les agences extrêmement qualitatives, il y a un fossé énorme.
Commencez par faire un point sur le temps qu’il vous a fallu pour écrire ladite notice technique. Ceci vous donne déjà une idée du temps qu’un traducteur pourra passer à la traduire (temps de rédaction uniquement).
Dans certains cas, il faut absolument un traducteur qui a du style et une maîtrise suffisante des sous-entendus dans sa langue maternelle pour ne pas créer un incident diplomatique. Un exemple qui a longtemps tourné dans les agences de traduction (peut-être une légende urbaine !), c’est celui du site internet d’un fabriquant de pipes dont le slogan une fois traduit en français s’avérait être : « 5 générations de faiseurs de pipes par passion ».
En tout cas soyez vigilant car certaines agences vous fourniront d’emblée un devis pour une traduction « à titre informatif » sans vous demander de précisions. Méfiez-vous du devis moitié moins cher, il y a souvent anguille sous roche !
Vous êtes bilingue ?
Même si vous êtes très à l’aise en anglais, l’écrit est une discipline bien plus complexe que l’oral. Pour avoir une écriture élégante et fluide il faut être natif, sans conteste. Et ce, même si vous avez passé beaucoup de temps à l’étranger et que vous êtes extrêmement à l’aise en négociation avec vos partenaires anglophones.
Cela dit, dans certains cas vos clients ne vous en tiendront pas rigueur. Notamment si vous vendez des produits low cost ou que vous misez tout sur la « French touch » !
Et puis, personne ne lira votre notice technique de façon aussi approfondie que notre traducteur ! D’ailleurs il n’est pas rare que des incohérences et des fautes d’orthographe dans le texte source nous soient remontées par nos traducteurs. Quoi de mieux que de faire relire son document par un linguiste ? C’est tout bénéf !
À noter : s’il vous arrive de faire des corrections après livraison des traductions par votre agence partenaire, n’oubliez pas de leur retourner le fichier final pour validation. Le coût de relecture à engager n’est rien aux vues des erreurs qui peuvent vous être remontées.
Vu par le passé : une phrase tronquée à la suite d’un mauvais copié/collé, donnant ainsi naissance à un magnifique contresens.
Verdict : s’intéresser uniquement au coût d’une traduction c’est oublier les conséquences d’une mauvaise traduction !
Faites un choix éclairé et surtout, n’hésitez pas à nous communiquer vos craintes éventuelles pour que nous puissions mieux vous aider.
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