Une belle occasion d’échange au sein de l’équipe : se donne-t-on le droit et peut-on tout traduire, c’est-à-dire tout type de contenu pour tout type de client ?
Ce mois-ci chez TradOnline, nous avons été confrontés à un cas de conscience.
En effet, un client dans le domaine de la production de film de divertissement pornographique est venu vers nous, pour nous proposer un partenariat de traduction des synopsis de films à paraître pour l’année en cours.
Beau volume en perspective (et récurrence) puisqu’il s’agissait dans un premier temps de 6 000 mots par mois avec une possibilité d’extension a 30 000/40 000 mots par mois puisque ce client est présent dans de très nombreux pays dans le monde !
Problème : le contenu à caractère pornographique, et ses expressions « consacrées » et disons, précises…. Quid du positionnement de TradOnline, de son éthique, de la relation avec ses traducteurs ?
Nous avons donc discuté de tout ceci en réunion d’équipe, afin de définir la conduite directrice dans ce genre de cas de figure et de permettre à tout le monde d’exprimer son point de vue.
Il est apparu qu’il y avait des divergences d’opinions sur le sujet, certaines personnes considérant que « le jeu en valait la chandelle », et d’autres partant du principe que tout contenu raciste, pornographique, violent, ne pouvait pas être cautionné, et qu’on ne pouvait donc pas accepter certains projets, donc celui dont il est question ici.
Nous restions assez partagés. D’un côté, nous avions bien conscience qu’il serait difficile de recruter des traducteurs pour ce type de contenu et qu’il y avait un risque (réel ou pas, il a été estimé comme tel) pour la réputation de TradOnline. Mais d’un autre côté, le volume de mots n’était pas négligeable et impliquait également de gros projets à venir. L’aspect commercial de ce projet n’a pas facilité notre refus…
Après moult débats, nous avons donc fini par tous nous accorder sur une décision, soutenue par la direction de TradOnline. Nous avons donc remercié notre client de nous avoir proposé ce projet, tout en lui expliquant que nous n’avions aucun traducteur formé pour traduire ce type de contenu « très spécialisé »… Une sortie de crise en queue de poisson !
Si vous avez déjà rencontré ce type de cas de figure, n’hésitez pas à partager avec nous votre opinion sur le sujet, et nous préciser votre cheminement de pensée, ceci nous permettrait d’enrichir notre débat !
Pourquoi traduire en contexte est souvent un impératif…
De grâce, développeurs, de grâce, responsables développement international et autres chefs de projet… pensez à vos utilisateurs et clients!
Nous observons cela depuis quelques mois. Poussées par l’urgence d’une occupation du terrain à l’étranger ou par la nécessité de trouver des leviers de croissance au delà de nos frontières, certaines entreprises (traditionnelles ou 100% Internet) se lancent à corps perdu dans l’internationalisation de leur offre.
Le cas récent d’une très belle réussite française, start-up il n’y a pas si longtemps et aujourd’hui en plein développement international que nous accompagnons, est le dernier en date et me pousse à réagir.
Le cas des CMS
De nombreux contenus sont créés, organisés et hébergés en ligne dans des outils, communément appelé CMS (Content Management System). Il en existe de très nombreux sur le marché, connus ou moins connus tel que WordPress, Drupal, EzPublish… Certains sont aussi développés en interne et sont donc « maison ». Sans rentrer dans le détail, la plupart de ces outils n’offrent pas la possibilité aux traducteurs (et relecteurs) de traduire en contexte.
… des phrases isolées voire scindées
Parfois même, il s’agit, dans un texte source en français par exemple, de traduire des « bouts » de phrase qui seront reconstituées après coup sur l’interface finale. Et ces phrases sont découpées dans l’outil suivant une logique « propre à la structure du français » (Sujet, verbe, complément). Imaginez par exemple ce que donne une traduction en Allemand qui ne suit pas cette structure, le « verbe » étant souvent scindé en deux éléments, dont un en fin de phrase, voir totalement décalé en fin de phrase dans le cas de subordonnées. Et n’évoquons pas la question de langue comme le chinois (avec une structure de phrase très particulière), ou l’arabe, qui se lit de droite à gauche, etc.
… des variables
Autre cas rencontré : en coréen, les chiffres ne se lisent pas comme en Français. Par exemple, 3 000 000 se lit comme en français, 3 millions. Par contre, à partir de 10 millions, cela change : 25 000 000 se lit 2500 dix mille (2500 * 10 000) phonétiquement…. Dès lors, il est impossible de traduire correctement un texte qui dit « % millions », le % étant un chiffre inconnu et qui peut être amené à changer.
Dans certaines autres langues, il existe des règles d’accord beaucoup plus complexes qu’en français et qui concernent les noms autant que les verbes. Que faire quand le nom qui doit s’accorder est une variable inconnue ?
… des problématiques de mise en page
Nous pouvons ajouter à ceci le coefficient de foisonnement… un mot « barbare » qui traduit la différence de longueur des phrases lorsque l’on passe d’une langue à une autre. La longueur d’une même phrase en anglais, traduite en français, sera environ, et en moyenne, 20% plus longue dans sa version traduite que dans sa version originale. Un souci bien connu dans la sous-titrage mais souvent oublié dans les projets de localisation de sites internet, applis Facebook ou Ipad, etc.
Le contexte du client et son métier sont deux éléments incontournables à comprendre et prendre en compte. Mais reste souvent insuffisant pour la traduction de contenu en ligne « sans contexte ».
Cela vous semble évident… Et bien, la vraie vie des projets vous réserve bien des surprises !
Traduction et performance d’une présence sur les réseaux sociaux
De nombreuses enquêtes le montrent : la probabilité d’achat d’un internaute sur un site Internet s’adressant à lui dans sa langue natale augmente très sensiblement (autrement dit, le coût d’acquisition de ce même client baisse tout aussi sensiblement). Et ce, d’un facteur 3 environ, par rapport à un site Internet proposé dans une langue qui ne serait pas sa langue maternelle. S’adresser à son client ou utilisateur dans sa propre langue en traduisant certains contenus (par exemple) est un vrai facteur de réassurance.
L’impact de la traduction automatique ?
Nous n’avons pas connaissance d’études comparables ayant analysé l’impact d’une traduction automatique sur l’intention de ce même internaute. Parcourir un site traduit par une machine (et a fortiori, sans mention telle que « traduction automatique avec l’API de Google Translate » par ex.) peut se révéler très pénible. Fautes d’accord, approximations, contre-sens, synonymes malencontreux… On imagine sans peine l’impact sur l’image perçue de l’e-commerçant… et du fameux critère de « réassurance » fortement chahuté.
N’oublions pas la stratégie !
Au-delà de votre site Internet, votre présence sur les réseaux ou médias sociaux est un des éléments, dans de nombreux contextes, de votre stratégie commerciale ou de votre stratégie de communication.
Que ce soit pour attirer des internautes étrangers (imaginons le cas d’un producteur de vin du Jura qui aimerait bien exporter un peu plus), ou pour internationaliser son offre et s’implanter sur un nouveau marché), s’adresser à sa communauté pour certains ou à ses clients pour d’autres, etc. doit se faire dans la langue locale. Et ce, à très peu d’exceptions près (comme le choix de l’anglais comme langue unique, ou lors d’une phase de test du marché, etc.).
Trad Online, une double spécialité réseaux sociaux et traduction
Pour traduire votre présence sur les réseaux sociaux et vous aider à transformer votre investissement en vente effective, capital sympathie ou notoriété, Trad Online est le bon partenaire. Nous connaissons les enjeux d’internationalisation de nos clients et comprendrons en vous écoutant plus finement les objectifs précis de votre présence sur les réseaux sociaux. Bien évidemment, il ne s’agit pas de traduire tous les contenus que vous produisez. Il faut distinguer le bruit des éléments clés. Par contre, que ce soit une page professionnelle Facebook, un profil d’entreprise LinkedIn ou une landing page sur votre site Internet, une traduction en contexte, par des traducteurs professionnels connaissant à la fois votre métier, comprenant vos objectifs et fins connaisseurs de la culture de leur pays d’origine est essentiel pour créer une relation à long terme, mettre en confiance l’internaute et déclencher l’acte d’achats de vos produits ou d’utilisation de votre application, service, etc.
Nous pensons détenir une réelle expertise du sujet, au-delà même des questions de traduction. Si vous hésitez sur la plateforme ou le réseau sur lequel vous investir, sur la façon de vous adresser à votre communauté (ou à défaut, à vos clients), sur la stratégie à inventer, n’hésitez pas à nous en faire part. Nous avons accompagné, et accompagnons pour certains encore, de belles réussites et pourrons vous faire partager quelques meilleures pratiques ou cas d’étude.
Billet « Special Guest » : nous accueillons Camille, de Neocamino.
Un site multilingue est un site internet qui propose du contenu dans plus d’une seule langue. Il peut s’agir par exemple du site internet d’un châteauen Normandie, qui accueille des touristes français mais aussi des vacanciers ayant traversé la Manche. On pourrait aussi citer le cas d’un consultant qui aide les PME françaises et espagnoles à nouer des partenariats commerciaux.
En pratique, il est utile d’avoir un site multilingue si l’on s’adresse à des cibles qui parlent des langues différentes. C’est d’abord vrai parce que vos prospects y trouveront leur compte mais c’est d’autant plus pertinent, que Google est capable de déterminer la teneur linguistique d’une page de contenu et, donc, de mieux la référencer selon la localisation d’une recherche effectuée par un de vos (futurs) visiteurs.
Parlez-vous la langue de vos clients ?
Depuis quelques années déjà, on sait que la langue constitue un facteur influençant fortement la façon dont un internaute réagit face à une proposition d’action (acte d’achat, fait de s’inscrire à une newsletter, prise de contact …).
Ainsi, on considère que :
les visiteurs d’un site y restent deux fois plus longtemps à partir du moment où les URLs et les contenus sont écrits dans leur langue maternelle plutôt qu’en anglais ;
les prospects de boutiques ou sites commerciaux sont 3 fois plus enclins à acheter un produit ou un service en ligne, quand il leur est présenté dans leur langue ;
les coûts de SAV et de support chutent -pour le plus grand bonheur de tous- si informations pratiques et modes d’emploi sont rédigés dans la langue du client.
Tout ceci est valable dans le cas d’un internaute dont la langue principale n’est pas l’anglais, mais qui le comprend quand même. Imaginez ce qui se passe pour une personne qui ne comprend que sa propre langue. Il est alors admis que 90% des sites qu’elle visite, ont un contenu lui est tout à fait compréhensible, c’est-à-dire rédigé dans sa langue.
Pour illustrer tout ça, j’ose une anecdote personnelle, datant de mes années lycée. J’étais devenu avec un ami, spécialiste de la revente de produits technologiques achetés en Asie sur eBay (lecteurs MP3 par exemple), avec une annonce rédigée en anglais donc, et revendus en France … sur eBay, avec une annonce de la même teneur mais rédigée en français cette fois-ci. Les clients qui trouvaient nos produits avaient forcément accès à ceux que nous avions achetés quelques jours plus tôt mais jetaient leur dévolu sur ceux dont l’annonce était dans leur langue. Quitte à payer 70% de plus …
Parlez-vous la langue de Google ?
Outre cette première plus value pour les visiteurs qui sont déjà sur votre site, son caractère multilingue vous permet de capter plus de visiteurs potentiels en lui assurant un meilleur référencement, en particulier auprès de populations parlant des langues différentes donc.
En matière de localisation, les moteurs de recherche scrutent plusieurs niveaux pour rassembler tous les paramètres qui vont faire qu’ils placeront tel ou tel site en meilleure place, si l’internaute qui effectue sa recherche est basé dans une région connue.
Vous pouvez distinguer ici deux points :
la structure technique de votre site, qui sera optimisée pour que les moteurs de recherche comprennent que vous ciblez différentes populations ;
la richesse de son contenu, qui va permettre d’améliorer son référencement localisé et au final d’augmenter votre spectre de prospects.
Pour les aider à déterminer quelle “branche” du site considérer, différentes façons techniques de procéder sont envisageables (avec, souvent, un résultat identique pour l’utilisateur final) :
en utilisant plusieurs extensions, .fr .uk .es .de … et donc plusieurs sites ;
en tirant parti des sous domaines http://fr.monsite.comet http://en.monsite.com ;
en créant des dossiers respectifs pour obtenir des URLs du type http://www.monsite.com/fr/ma_page/ et http://www.monsite.com/en/my_page/.
Faciliter la navigation pour un utilisateur : une attitude vertueuse.
En plaçant des ponts entre les pages qui se correspondent dans les différentes langues, vous permettrez à un français tombé par hasard sur la page anglaise de revenir en un clic vers son homologue en français. En outre, vous indiquerez clairement aux moteurs de recherche la structure pertinente de votre site et les mènerez plus directement à la page qu’ils jugent intéressante pour leur utilisateur qui effectue une recherche dans une certaine langue.
Dans tous les cas, c’est le contenu de ces différentes pages, lui-même, dont les moteurs de recherche vont d’abord tenir compte pour établir leur classement. Avec un site multilingue, ce sont vos textes, vos titres et vos slogans qui sont traduits. La traduction automatique peut être tentante car peu onéreuse et facile à mettre en oeuvre, mais on conseille plutôt de prendre véritablement cela à votre compte, et de passer du temps à s’occuper de ce travail, voire à s’adjoindre les services de professionnels de traduction [ NDLR de l’équipe du blog : comme les services de traduction de Trad Online…].
Cela évitera d’abord de faire des erreurs de sens, d’orthographe ou de grammaire qui seraient pénalisantes d’une façon ou d’une autre :
d’un côté, les moteurs de recherche détecteront le caractère automatique et la contenu de faible qualité en analysant le taux de rebond par exemple ou les incohérences syntaxiques éventuelles ;
de l’autre, les utilisateurs de votre site ne comprendraient pas pourquoi leurs habitudes linguistiques ne sont pas respectées, rechignant à s’adresser à un prestataire aussi peu professionnel.
Deuxièmement, cela vous assurera du contenu de qualité, intéressant et riche. Les moteurs de recherche valoriseront cela en plaçant votre site traduit plus en avant dans leurs résultats localisés et par ailleurs, vous trouverez plus de possibilités pour obtenir, auprès de vos pairs et des sites consultés par vos prospects, des liens pointant vers votre site.
Vous pourrez aussi travailler sur des mots clés pertinents, cohérents avec le marché et la teneur de vos contenus. Et donc vous assurer un encore meilleur référencement !
Avoir un site multilingue est une vraie opportunité de développement et demande qu’on y consacre du temps et de l’énergie. Pour conclure, si les lecteurs qui ont un blog dans une langue que le français souhaitent reprendre à leur compte cet article et le traduire en bonne et due forme, qu’ils n’hésitent pas !
Note de TradOnline = Un grand merci Camille pour ce billet précis et vos conseils. Nous en profitons pour rappeler à nos lecteurs quelques billets plus anciens sur le même sujet :
Traduction de sites internet – Partage d’expérience
Sur l’année 2011, l’équipe de Trad Online a été amenée à gérer plusieurs projets de traduction de sites web. Voici un petit retour d’expérience pour nos clients et futurs clients qui souhaitent se lancer !
Aussi, avant de vous lancer à la conquête du monde, et même si cela paraît évident, la première question à se poser est : que traduire ?
1 – Les contenus texte « classiques »
Nous parlons ici des textes qui s’affichent en clair sur les pages de votre site. Sachant qu’un devis de traduction est généralement calculé sur une base du nombre de mots sources, et comme il est particulièrement laborieux de compter tous les mots de chaque page d’un site (c’est parfois impossible car certaines pages ne s’affichent que de manière dynamique), nous aurons quasiment toujours besoin d’une extraction des textes à traduire. Cette extraction servira de base pour évaluer le coût et la durée du travail.
Note 1 : une extraction ne veut pas dire un fichier .zip contenant 150 fichiers .html, mais un ou plusieurs documents contenant l’ensemble des textes à traduire.
Note 2 : nous pouvons nous charger de l’extraction, dans certains cas.
2 – Les métadonnées
Votre site comporte forcément un certain nombre d’éléments de texte qui se trouvent dans le code source : des titres (balises ALT), des URLs en clair, des balises meta (description, mots-clés, etc). Si vous souhaitez faire traduire ces éléments, il faudra le préciser en amont. Dans le cas de ces éléments, il faut être particulièrement attentif car il ne faut pas perdre de vue l’objectif de référencement : les termes doivent être pour cela soigneusement choisis. Dans le cas des URLs, il faut également être très prudent car l’architecture du site en dépend donc tout changement peut briser un lien.
Note : pour des besoins de SEO, nous pouvons grace à nos équipes spécialistes des langues, vous aider dans la détection des meilleurs mots clés pour un pays donné. Analyse linguistique (synonymes, expressions exactes, expressions larges, etc.) mais aussi, analyse statistique d’occurrences.
3 – Les images
Certaines images contiennent parfois du texte, et rares sont les CMS qui permettent de les éditer directement en ligne (il faudrait pour cela que l’image ait été construite en utilisant le CMS lui-même). Ces images peuvent correspondre à un slogan, un tableau, un graphique, etc. Si vous choisissez de les faire traduire, cela signifie donc que ceux-ci devront être isolés du reste et traités à part. Vous pouvez aussi nous confier les versions modifiables de ces images, afin de vous éviter l’intégration des textes traduits.
Note 1 : n’oubliez pas non plus, surtout dans le cas de sites de e-commerce, de faire traduire les balises « alt » de vos images (cf point 3 ci-dessus). Une balise précieuse pour le référencement naturel (mais pas uniquement).
Note 2 : si vous ambitionnez l’international dès la création de votre site, il est préférable de ne pas intégrer de textes sur vos images (avec un calque Photoshop par exemple), car le coût de traduction – par les manipulations que cela entraîne – est relativement élevé.
4 – Les fichiers associés
Parfois des fichiers sont hébergés sur le site et proposés aux visiteurs : une brochure, une invitation à un événement, un coupon de réduction, un guide d’utilisation, les exemples sont nombreux. Selon les cas, il faudra déterminer si ceux-ci doivent être traduits.
Note : les plus importants d’entre eux peut-être, les CGV, CGU et mentions légales. Un traducteur spécifique (avec une spécialité juridique) sera mobilisé pour ces documents. Une question que vous devez vous poser : adaptation locale ou pas ?
5 – Les contenus dynamiques
Avez-vous un blog, ou des actualités qui sont mises à jour régulièrement ? Lorsque vous envisagez la traduction de votre site, il est toujours intéressant de voir sur le long terme et essayer d’anticiper les besoins à venir. Dans le cas de contenus amenés à évoluer fréquemment, un forfait traduction peut être proposé à un tarif compétitif, permettant ainsi d’avoir une interface entièrement traduite en incluant les contenus les plus récents !
Note 1 : les contenus « fixes » de votre site doivent être à l’image de votre offre. Ce sont des éléments majeurs de réassurance de vos clients, ce qu’ils vont voir en premier… Ne négligez pas la qualité de ces contenus, et de leur traduction. Nous mettons en place un processus de traduction ET de relecture par un second traducteur pour ces contenus clés.
Note 2 : les contenus dynamiques ont des durées de vie souvent très faibles. Actualités chaudes, promotions à durée limitée, etc. Nous proposons donc à nos clients qui souhaitent optimiser leur investissement d’opter pour une traduction simple (sans relecture par un second traducteur). Une très bonne qualité, mais en se permettant ici ou là, un espace ou une majuscule manquante.
Petite boutade : si vous ambitionnez de traduire votre site en Chinois, n’oubliez pas de vous organiser pour lire, comprendre et répondre aux mails des internautes chinois… rédigés dans leur langue natale 😉