Comment faire traduire votre site Internet sous Drupal ?

Comment faire traduire votre site Internet sous Drupal ?

Avez-vous réfléchi à la localisation de votre site Internet sur Drupal avant de lancer sa version en français ?

Que vous soyez prévoyant ou non, il y a toujours une solution. Je vous invite à consulter notre article pour connaître la procédure à suivre.

Qui est Drupal ?

Drupal est un CMS open-source (content management system ou système de gestion de contenu en français) dont le langage principal est le php. Ce CMS est utilisé par environ 1 million de sites Internet à l’échelle mondiale, ce qui est non négligeable puisqu’il s’agit du 2e CMS le plus utilisé au monde (bien loin des 15 millions d’utilisateurs de WordPress cependant ^^).

La version 8 de Drupal comporte d’énormes améliorations au niveau de la gestion multilingue d’un site Internet. Utiliser Drupal pour la création d’un site multilingue n’est donc plus une solution uniquement réservée aux développeurs web hyper geeks !

Étape 1 : bien configurer son site sous Drupal

Pour comprendre comment configurer votre site sous Drupal afin qu’il puisse bien prendre en charge la gestion multilingue, c’est par ici : https://www.drupal.org/docs/8/multilingual/choosing-and-installing-multilingual-modules

C’est ici également que nous vous invitons à définir le rôle de TradOnline sur votre plateforme. Si vous nous donnez la permission de traduire vos contenus directement dans Drupal, vous devez nous fournir un accès traducteur à votre CMS.

Étape 2 : déterminer ce qui est à traduire

Drupal vous indique dans la documentation suivante les éléments que vous pouvez faire traduire : https://www.drupal.org/docs/8/multilingual/translating-configuration

À vous de décider lesquels vous souhaitez vraiment faire traduire en fonction de votre politique d’internationalisation.

Pour configurer le module « content translation », voici où le trouver : admin/config/regional/content-language

Ce module vous permet de décider pour chaque type de contenus lesquels seront à traduire (commentaires, blocs, comptes utilisateurs, etc.).

Ensuite, à l’intérieur de chaque type de contenu, vous pourrez également décider de faire traduire les sous-catégories ainsi que les champs de chaque sous-catégorie qui sont à traduire.

Il est donc possible de sélectionner le contenu à faire traduire de manière fine, comme vous pouvez le voir dans l’image ci-dessous :

Étape 3 : traduire dans le module « content translation »

Si vous avez installé au minimum deux langues sur votre site, et que vous avez sélectionné les champs que vous souhaitez faire traduire, il est maintenant possible de commencer cette traduction !

Comme vu à l’étape 1, si nous avons la permission de traduire sur votre site, nous verrons apparaître un lien « translate », juste à côté du lien « Edit » pour chaque page à traduire. Ce lien apparaîtra sur toutes les pages à traduire, vers toutes les langues que vous avez sélectionnées.

Vous ne souhaitez pas ouvrir un accès « traducteur » à TradOnline ?

Sachez que nous avons l’habitude de travailler sur les CMS de nos clients, et que cet accès « traduction » restreignant fortement notre champ d’intervention, il n’y a aucun risque pour que nous éditions votre contenu par erreur. Si toutefois votre service informatique vous l’interdit tout de même, il existe une autre solution.

Dans ce cas-là, nous vous invitons à télécharger le logiciel gratuit Poedit : https://poedit.net/

Ce logiciel vous permettra d’exporter le contenu que vous souhaitez faire traduire sur votre site Drupal, avant de nous le transmettre. Nos outils d’aide à la traduction connaissent les fichiers .po et nous pouvons travailler dans ces fichiers sans aucun souci.

Votre fichier comporte des variables ?

Pas de panique, nous savons les traiter car nos traducteurs ont l’habitude de gérer ce type de fichiers.

Vous ne savez pas ce qu’est une variable ? Je parle ici des contenus un peu énigmatiques du type « Posted by: %name ». Dans ce cas-là, il faut traduire cette chaîne par « Posté par : %name » pour ne pas corrompre la variable.

Et si cet article ne répond pas à toutes vos questions, n’hésitez pas à prendre contact avec notre équipe directement.

Exporter des produits français en Chine, est-ce possible ?

Exporter des produits français en Chine, est-ce possible ?

La Chine est, depuis des années, la plus grande usine du monde.

Les échanges entre la Chine et la France sont d’ailleurs particulièrement déséquilibrés, mais nous verrons que de plus en plus d’entreprises françaises se lancent à l’export en Chine depuis quelques années.

Déficit commercial record

La Chine est le premier pays exportateur au monde. Cela dit, la Chine possède encore une industrie qui produit des éléments à faible valeur ajoutée, et ce, malgré un soutien du gouvernement chinois à la spécialisation des industries chinoises. Les pièces détachées restent une grande partie des éléments que la Chine exporte, en France comme partout dans le monde.

Cependant des industries de pointe vont sans doute naître dans les prochaines années car les investissements chinois sont soutenus dans ce domaine.

Importations de produits français en Chine

Même si nous réalisons un déficit commercial record avec la Chine, en revanche le nombre de produits français importé en Chine est tout de même relativement important, notamment dans le domaine agroalimentaire. Après l’Allemagne, nous sommes le 2e plus gros fournisseur chinois en Europe.

Il y aurait également plus de 1 100 entreprises françaises installées en Chine actuellement. Des chaînes comme Auchan et Carrefour se sont développées en Chine et emploient énormément de ressources sur place.

Mais les entreprises majoritairement installées en Chine travaillent dans le secteur de la chimie, de l’informatique ou de l’automobile.

Notons tout de même que les cosmétiques, le vin et les produits alimentaires français font de plus en plus fureur en Chine. Selon les secteurs, la progression annuelle peut-être forte (jusqu’à + 80 % par an).

Se lancer à l’export en Chine ?

Ce n’est plus si rare que ça aujourd’hui, car de plus en plus d’entreprises voient le marché chinois comme un marché extrêmement porteur et en pleine croissance.

Et comme la France et les produits français bénéficient d’une bonne popularité auprès des Chinois, c’est souvent un marché prêt à être conquis.

Vendre sur internet, via un agent chinois, en grande distribution ou distribution spécialisée, ouvrir ses propres boutiques ou faire de la vente directe ? Toutes ces options sont envisageables et seront à étudier au cas par cas en fonction des produits que vous vendez et de votre business model.

Une certitude, même si votre produit peut sembler attractif pour le marché chinois, pensez tout de même à bien l’adapter aux us et coutumes locales. Les besoins des Chinois sont rarement identiques à ceux des Européens.

Notons tout de même que, tout comme en France, les Millennials chinois existent. Ils sont friands de technologie, ont été élevés dans une Chine mondialisée et adorent les voyages. Si vous êtes un pure player et que vos produits sont destinés en France à des Millennials, vous aurez moins besoin d’adapter vos produits.

Que recherche le consommateur chinois en achetant français ? Qualité, sécurité des produits, mais également, il cherche à montrer qu’il a de l’argent. Car en Chine, la réussite sociale passe par l’argent.

Si vous faites du B to B, sachez que la notoriété de votre marque est extrêmement importante. Les produits européens sont souvent destinés à l’élite chinoise (même si la classe moyenne s’est nettement enrichie ces dernières années) et c’est une population qui achète des « marques ». Pour atteindre le marché chinois, il faut véritablement mettre en place une stratégie de communication bien ficelée.

La France exporte 20 % produits supplémentaires vers la Chine chaque année, et ce n’est pas prêt de s’arrêter…

 

 

 

 

 

Pourquoi localiser/traduire son application mobile ?

Pourquoi localiser/traduire son application mobile ?

Avec la multiplication des smartphones, les sites internet sont aujourd’hui essentiellement consultés sur téléphone et tablette. Certains internautes vont même consulter certains sites e-commerce jusqu’à plusieurs fois par jour sur leur mobile ! Il est donc temps de s’adapter à cette nouvelle clientèle toujours plus exigeante.

Atteindre un public international

Comme nous avons pu l’évoquer dans de précédents articles, faire traduire son application mobile permet de s’ouvrir à de nouveaux marchés.

Votre technologie pourrait intéresser des industriels aux USA ou en Chine ? Première étape : proposez-leur le contenu de votre site dans leur langue maternelle ! L’investissement est rarement bloquant et le jeu en vaut la chandelle.

Il est clair que si votre application mobile est traduite, vous aurez beaucoup plus de téléchargements que si elle ne l’est pas.

Alors voici votre nouvel objectif : vendre vos produits dans le monde entier !

Quelle(s) langue(s) privilégier pour une application mobile multilingue ?

Questionnez-vous d’abord sur les pays dans lesquels vos concurrents sont présents, vous aurez déjà une idée des marchés réceptifs. Reste ensuite à vous positionner vis-à-vis d’eux et définir s’il est plus judicieux de les attaquer en frontal sur un marché ou de cibler un autre pays, un marché de niche.

De manière générale, nos clients qui n’ont jamais fait d’export commencent tous par traduire leur site en anglais. L’anglais est une langue particulièrement intéressante car peu chère et comprise par un grand nombre. Pourquoi l’anglais est-il moins cher qu’une autre langue, me direz-vous ? Tout simplement car nombreux sont les traducteurs de langue maternelle anglaise. Et quand la concurrence est rude, le prix d’une prestation est naturellement moins cher.

Attention toutefois : si vous ciblez les pays anglophones, il est possible que vous ayez besoin de développer plusieurs versions de votre site selon la variante linguistique : l’anglais britannique, l’anglais américain, etc.

Viennent ensuite toutes les langues européennes puis le chinois. Le chinois est particulièrement intéressant car c’est la langue la plus parlée au monde avant l’anglais. Et comme la Chine est un grand pays industriel, l’utilisation de cette langue peut être extrêmement utile.

Le saviez-vous ?

En traduisant votre application mobile en seulement deux langues supplémentaires, vous atteindrez plus de la moitié du marché mondial. Alors n’hésitez plus ! De plus, la traduction ne représentera qu’une goutte d’eau dans votre budget de développement de produit. Mieux, elle permettra même de le rentabiliser, économie d’échelle réelle !

Préparation du projet

Tous les projets coexistent chez TradOnline, il nous est donc difficile de parler « d’habitude » !

Ce qui est sûr, c’est que si nous ne travaillons pas sur votre plateforme (interface administrateur) avec contextualisation possible du contenu, alors nous aurons besoin d’un fichier bien renseigné. En d’autres termes, plus vous nous donnerez d’indications en amont de la traduction, plus le résultat sera à la hauteur de vos attentes.

Car le contenu d’une application comporte rarement beaucoup de mots à traduire, mais en revanche chaque mot doit être choisi minutieusement. Que diriez-vous si vous voyiez « wallpaper » traduit par « papier peint » sur une application smartphone ? Il est clair que sur le mobile, « wallpaper » a plus de chance de se traduire par « fond d’écran », mais sans contexte, rien ne nous garantit que notre traducteur pensera au double sens de ce mot en le traduisant. Plus votre projet sera contextualisé, plus le risque d’erreur d’interprétation sera limité. C’est ce qui inquiète le plus nos traducteurs d’ailleurs !

Voici quelques-uns des formats de fichiers que nous traitons pour la traduction d’applications mobiles :

– les fichiers strings issus des applications sous iOS,

– les fichiers RESX issus des applications Windows Phone et Windows.NET,

– les fichiers XML issus des applications sous Android.

Notre logiciel d’aide à la traduction nous permet de traduire ces trois types de fichiers.

Notez également qu’il vous faudra initier une réflexion plus globale sur les contenus qui peuvent être traduits en l’état et ceux qui nécessitent des ajustements. Par exemple, vous êtes une entreprise française et souhaitez exporter aux USA, il y a de grandes chances que vos CGV aient besoin de passer entre les mains d’un juriste avant traduction !

Si vous cherchez à cibler un public étranger dans votre pays, dans ce cas-là pas besoin d’adaptation des contenus. C’est le cas notamment de certaines entreprises américaines qui affichent systématiquement leurs contenus en espagnol du Mexique pour cibler cette tranche de population dans leur pays.

Dans tous les cas, n’hésitez pas à nous appeler pour que nous puissions vous aider à cadrer votre projet de localisation d’application mobile suffisamment en amont.

À qui confier une traduction en chinois ?

À qui confier une traduction en chinois ?

De plus en plus d’entreprises françaises se lancent sur le marché chinois. Le dynamisme de la Chine et l’ampleur du marché chinois et de ses consommateurs font évidemment tourner la tête à de nombreux investisseurs.

Et pour s’adresser au marché chinois directement, il faut évidemment commencer par leur parler dans leur langue maternelle. Première étape : faire traduire vos contenus en chinois.

Mais s’il existe pléthore de traducteurs chinois sur le marché, comment être sûr que la qualité est à la hauteur de vos attentes quand vous ne parlez pas un mot de la langue cible ?

Info : les traducteurs et interprètes français<>chinois et anglais<>chinois de qualité sont très prisés sur le marché de la traduction !

Traduction de contrats : la première étape d’une belle réussite en Chine

Vous avez des contacts en Chine et une ébauche d’accord commercial avec une entreprise ? Reste maintenant à bien définir ensemble les clauses de votre futur contrat. Une fois les clauses définies lors d’une réunion de travail, il ne reste plus qu’à confier la traduction de votre contrat à une agence de traduction professionnelle.

Pour bien choisir l’agence de traduction avec laquelle vous contractez, pensez à vérifier qu’elle est compétente en traduction juridique en chinois et qu’elle peut vous fournir des traductions assermentées si nécessaire.

Qui peut vous fournir une traduction assermentée ? Un traducteur expert certifié et assermenté par une cour d’appel. C’est une spécialisation qui requiert une validation directement par une cour d’appel. Les procédures sont longues et tout le monde n’obtient pas le statut de traducteur expert.

Il est essentiel que cette traduction soit confiée à un traducteur professionnel natif pour qu’il n’y ait pas d’écart entre le contenu du contrat en français et le contenu de sa traduction en chinois. Un tel travail de précision n’est pas à la portée de n’importe qui.

Traduction erronée, quels sont les risques encourus ?

La loi chinoise indique clairement que si un contrat est produit en français et chinois, c’est la version chinoise qui est retenue en cas de litige. Et par la même occasion, c’est la loi chinoise qui régira votre contentieux. C’est pourquoi il est d’autant plus important que la version chinoise ait été rédigée par un traducteur professionnel voire par un traducteur chinois assermenté.

Traduction technique : place à la traduction de vos produits et notices descriptives

Vous avez gagné un premier marché, félicitations ! Maintenant il vous reste à fournir à votre partenaire la totalité de votre matériel bien traduit en chinois. Car si vos manuels d’utilisation sont mal traduits, vous risquez de ne pas atteindre votre cible commerciale et votre tentative de percée du marché chinois pourrait se solder par un échec cuisant. Or pour traduire un manuel utilisateur, il ne suffit pas d’avoir un bon dictionnaire français-chinois ! Toute approximation nuira à votre image de marque et sera génératrice d’insatisfaction. Il est important que votre agence de traduction traite avec un traducteur chinois spécialisé en traductions techniques. Le vocabulaire doit être précis et adapté à votre secteur d’activité.

Existe-t-il une seule langue chinoise ?

Si c’était le cas, ce serait plus simple ! Mais malheureusement il existe de nombreux dialectes en Chine. Le han est la langue nationale en Chine. C’est la langue la plus parlée dans le monde.

Chez TradOnline, nous traitons trois variantes de chinois écrit : le chinois Mandarin de Taiwan, celui de Chine et le Chinois cantonais de Hong Kong.

Pour en savoir plus sur les langues parlées en Chine : https://www.tradonline.fr/blog/quelle-langue-parle-t-on-en-chine/

Interview d’Anna, notre formatrice memoQ

Interview d’Anna, notre formatrice memoQ

TradOnline travaille depuis 5 ans maintenant avec memoQ, un outil développé par Kilgray. Nous connaissons plutôt bien les fonctionnalités de base de cet outil, mais comme une nouvelle version sort tous les 6 mois, nous devons rester à la page ! C’est là qu’Anna intervient 🙂

TradOnline : tu es formatrice memoQ depuis quelques années. Peux-tu nous expliquer en quoi consiste ton travail ?

Anna : je suis enseignante universitaire basée actuellement en Alsace mais également passionnée de memoQ. C’est pourquoi je me déplace partout en France pour assurer des formations sur memoQ pour des publics très divers.

Mes formations peuvent faire l’objet d’un remboursement auprès de l’OPCA ou du FIF-PL, ce qui n’est pas pour déplaire à mes clients !

TradOnline : qu’est ce memoQ exactement ?

Anna : à mon avis, c’est le meilleur outil de TAO au monde ! memoQ est conçu pour faciliter le travail des traducteurs, relecteurs, réviseurs et pour réunir toutes les ressources (anciens textes traduits, références, glossaires, etc.) sur une même interface. Tout est sur memoQ. Nul besoin d’ouvrir des documents sur Word ou PDF en parallèle de memoQ !

memoQ est également une solution idéale pour travailler à plusieurs sur le même projet et garantir ainsi rapidité et maintien de l’harmonie terminologique. Ce que j’apprécie particulièrement dans memoQ, c’est que la prise en main est très facile, et qu’en même temps les fonctionnalités avancées permettent de changer toutes les options (ou presque) pour un outil « sur-mesure » pour les besoins spécifiques d’un client ou d’une agence de traduction.

TradOnline : tu m’as expliqué que tu étais présente au lancement de la première version du logiciel memoQ, peux-tu nous en dire plus sur la naissance du projet ?

Anna : les créateurs de memoQ sont trois jeunes informaticiens-linguistes très créatifs que j’ai connus grâce à ma thèse : Balázs Kis, István Lengyel et Gábor Ugray. Leurs noms de famille ont donné le nom à leur entreprise, Kilgray. Au début, ils travaillaient dans un local attenant à un restaurant très tendance à Budapest, il y avait toujours une très bonne ambiance chez eux. J’ai commencé à donner des formations memoQ en 2006, mais le logiciel est né en 2004.

TradOnline : comment ce logiciel (memoQ) se positionne-t-il par rapport à la concurrence ?

Anna : memoQ est un outil majeur sur le marché de la traduction. Un des atouts de Kilgray est la qualité de leur relation client : ils sont toujours très à l’écoute des besoins et des idées de leurs utilisateurs et ils font eux-mêmes régulièrement de la traduction ; cela leur a permis de créer un outil très performant qui correspond vraiment aux besoins des professionnels de la traduction.

Le memoQFest, organisé tous les ans à Budapest depuis 10 ans, est une plateforme d’échanges autour du logiciel avec formations et présentations des bonnes pratiques. Mais c’est également un moment convivial très apprécié des traducteurs, qui ne manquent pas de faire la fête jusqu’au petit matin ! L’équipe de Kilgray est très professionnelle et dynamique et l’ambiance de travail sur place est toujours très décontractée et amicale. Quand on arrive au memoQFest, on se sent tout de suite chez soi et on a l’impression de connaître les autres depuis longtemps, car on partage la même passion pour la traduction.

TradOnline : qui est amené à te contacter pour ces formations ?

Anna : mon public est très varié : j’assure des formations pour des universités, je me déplace pour former des équipes de chefs de projets en agences de traduction, mais j’ai également beaucoup de demandes de la part de traducteurs indépendants. Mes formations sont toujours personnalisées, je m’adapte le plus possible à mes clients.

Avant de préparer la formation, je fais un entretien préalable pour connaître le fonctionnement et la façon de travailler de mon client. Ensuite, j’identifie le niveau et je mets en place une formation bien ciblée et adaptée aux besoins du client.

Dans le cas des traducteurs indépendants, je propose également des formations à distance par Skype, à raison de 3 séances de 2 heures. Ceci permet d’approfondir et de pratiquer entre les séances ce que nous avons appris lors de la formation.

TradOnline : peux-tu expliquer ce que tu fais pour TradOnline ?

Anna : TradOnline fait partie de mes clients préférés (TradOnline : merci Anna !).

Pour commencer, j’ai assuré une formation sur site en novembre 2017. C’était une super journée très intense avec une équipe extraordinaire et motivée. Depuis, nous restons en contact, et je me tiens à leur disposition pour toute question concernant memoQ.

Il y a quelques mois, nous avons refait une formation (cette fois-ci à distance) sur Customer Portal et QTerm, des sous-parties de memoQ.

TradOnline : ton métier t’amène à voyager un peu partout en France. Est-ce dur de concilier vie pro et vie perso ?

Anna : chez nous, toute la famille aime voyager et une de nos passions est la découverte de la France. Si je peux, je m’organise pour que toute la famille puisse m’accompagner en déplacement et on essaye de passer un week-end sur place pour découvrir les environs. Pendant les formations, c’est mon mari qui s’occupe de nos quatre enfants, c’est un temps très spécial pour tous, ils en profitent bien !

Un grand merci Anna pour ce partage d’expérience.

Si vous êtes traducteur et que vous avez besoin/envie de vous former à memoQ, nous vous conseillons les services d’Anna, sans aucun doute. Son professionnalisme et ses capacités d’écoute font d’elle une formatrice hors pair !