On parle de plus en plus de ces robots conversationnels dans les médias, mais peut-être que peu d’entre vous savent réellement qui ils sont et où on les trouve.
Et je pense que vous êtes encore moins nombreux à savoir qu’un chatbot peut être multilingue ! Alors cet article est pour vous 😉
Qu’est-ce qu’un chatbot ?
Le chatbot est un robot conversationnel que l’on trouve de plus de plus souvent sur les sites internet d’e-commerçants. Il s’agit tout bonnement d’un logiciel programmé pour pouvoir tenir une conversation ciblée avec les utilisateurs. De la SNCF en passant par Ikea, vous verrez ces petits robots fleurir un peu partout sur la toile. Leur phrase d’accroche oscille entre « En quoi puis-je vous être utile ? » et « Quelle est votre question ? ».
Pour un site e-commerce, l’intérêt de ces chatbots est d’aider les consommateurs à valider leurs paniers en répondant à toutes leurs problématiques.
Si les chatbots existent depuis de nombreuses années, les progrès immenses de l’intelligence artificielle ces 10 dernières années viennent de leur donner un gros coup de boost.
À l’origine, un bot est un programme qui permet d’automatiser une tâche précise. C’est une sorte de script qui va par exemple organiser des réunions en fonction des disponibilités de chacun des participants invités.
On évoque d’ailleurs de prochains chatbots qui pourront échanger à l’oral avec les consommateurs.
Seul hic : pour l‘instant aucun chatbot sur le marché n’est capable de comprendre l’humour et le second degré. De la même façon, les versions « orales » ne sont pas capables de percevoir et d’interpréter les intonations des consommateurs. Sur ce point, nul ne sait encore à quelle échéance ceci sera réalisable.
Comment un chatbot devient-il multilingue ?
Un chatbot basé sur la technologie de machine learning est capable d’apprendre des conversations qu’il tient avec les utilisateurs. Mais pour que l’apprentissage soit plus rapide, ses créateurs vont également l’entraîner. Pour bien traduire votre site internet il faut faire appel à un natif, c’est la même chose pour votre chatbot ! Celui-ci doit être entraîné par quelqu’un qui maîtrise la culture du pays où vous souhaitez localiser ce chatbot.
Pour entraîner un chatbot, il faut tester des phrases qui correspondent à des demandes réelles des utilisateurs.
Deux options : soit vous avez assez de datas pour pouvoir nous transmettre ces phrases en vue de la mise en place d’un questionnaire d’évaluation, soit vous êtes très en amont du projet et avez un data scientist qui va réfléchir aux phrases auxquelles vous souhaitez apporter une réponse à vos consommateurs.
Nous saurons vous conseiller afin de mettre en place un environnement de test le plus ergonomique possible pour que le risque d’erreur des « entraîneurs » soit le plus faible possible.
Quel avenir pour l’intelligence artificielle dans la traduction ?
Il n’y a qu’à voir les progrès fulgurants de la traduction automatique neuronale ces derniers temps. C’est bien simple, les avancées ont été plus importantes en un an qu’au cours des 20 dernières années. L’intérêt récent des GAFAM n’y est pas pour rien ; il faut dire que le potentiel de ces technologies est infini.
Chez TradOnline, nous pensons que le métier de traducteur doit s’adapter. L’humain a de nombreuses compétences annexes à proposer que les machines ne pourront pas concurrencer de sitôt. Le tout est de les exploiter correctement.
C’est ce que nous faisons depuis maintenant presque 10 ans chez TradOnline : mettre notre intelligence au service de nos clients en prenant acte des progrès technologiques. On ne se bat pas contre la technologie, mais nous en servons pour vous apporter de meilleures solutions !
C’est un sujet qui touche un grand nombre de nos clients e-commerçants, dont les deux priorités sont de réduire le time-to-market ainsi que le coût global de l’internationalisation de leur site internet.
Dans l’exemple ci-dessous nous évoquerons l’une des solutions qu’il nous est arrivé de proposer à nos clients ayant besoin de faire localiser des contenus volumineux. L’exemple choisi touche au domaine du tourisme.
Guide touristique : des contenus volumineux et éphémère
Le cas client que je souhaite aborder aujourd’hui est celui d’un créateur de supports touristiques (print et web) qui était jusqu’ici uniquement vendu en français et qui a souhaité se développer sur d’autres marchés.
Après une première évaluation rapide des volumes de contenus et un premier chiffrage pour une traduction 100 % humaine, nous nous sommes rendu compte que le projet ne collait pas avec les contraintes coût/délai de notre client.
Essayez un peu d’imaginer… Vous proposez plus de 700 destinations touristiques et chaque guide comporte en moyenne 300 pages, dont presque la moitié du contenu est renouvelé tous les ans grâce aux contributeurs du monde entier… Je vous laisse imaginer la facture !
Notre challenge ici était donc de proposer une solution économiquement viable à notre client.
Pour ce faire, nous avons opté pour l’automatisation d’une partie de la traduction des contenus.
Machine translation : de quoi s’agit-il ?
Sur le marché de la traduction automatique, il existe de nombreux acteurs qui proposent des solutions de traduction automatique.
Mais comment s’y retrouver ?
Déjà, toutes ces entreprises de MT (machine translation) ne fonctionnent pas de la même manière. Certaines ont une technologie uniquement basée sur des statistiques (comme Google translate) alors que d’autres intègrent également un moteur neuronal et un moteur rule-based (basé sur des règles linguistiques).
Par ailleurs, aucun outil gratuit ne permet le respect de la confidentialité des données, c’est pourquoi nous vous recommandons fortement d’opter pour une solution payante.
Étude de cas : préconisations
Après étude du projet avec le client, nous déterminons 2 types de contenus :
les contenus à faible valeur ajoutée : les témoignages clients ;
les contenus à plus forte valeur ajoutée : les contenus touristiques.
Pour la première catégorie, le client a choisi d’opter pour une traduction 100 % automatique, par souci d’économie. Son but ici est uniquement de rendre disponible ce contenu à des étrangers. Si la traduction est sensée, c’est une plus-value pour le client, en revanche si la traduction n’a pas de sens, il n’aura qu’à lire le prochain avis.
Car même si les logiciels de traduction automatique donnent des résultats de plus en plus performants, si le texte source est écrit dans un mauvais français (syntaxe, orthographe, abréviations) le robot n’est plus apte à fournir une proposition de qualité.
Pour ce qui est de la seconde catégorie de contenus, dits « touristiques », le client a opté pour une solution mixte de traduction automatique relue par des traducteurs professionnels. Cette solution a le double avantage d’être économique et de meilleure qualité qu’une traduction automatique pure. En revanche, le résultat n’est tout de même pas identique à une traduction 100 % humaine, tout du moins dans un premier temps. Il est nécessaire « d’entraîner » le moteur de traduction automatique avant d’obtenir des résultats ultra concluants. Cet entraînement nécessite un grand volume de projets afin d’être optimal.
Dans ce cas de figure, nous avons indiqué aux traducteurs que leur relecture devait porter sur la correction des erreurs grammaticales, orthographiques, syntaxiques, terminologique, pour que la totalité du contenu puisse avoir un sens. En revanche, nous leur avons demandé de ne pas s’attarder sur la qualité du phrasé puisque la qualité du style ne faisait pas partie des demandes du client.
À noter : sur un projet de cette ampleur, la mémoire est alimentée en temps réel par les corrections des traducteurs, ce qui permet d’améliorer très nettement la qualité du premier draft fourni par notre outil de TAO.
La localisation des contenus : un enjeu stratégique chez notre client
Pour des entreprises dont la valeur ajoutée est scripturale, le coût de localisation peut être exponentiel. C’est pourquoi il est important de trouver une solution adaptée, permettant d’envisager une internationalisation rapide et à moindre coût.
À noter tout de même que ce client s’adresse également à nous pour des projets plus marketing pour lesquels nous n’utilisons pas ce logiciel de traduction automatique. Si la traduction automatique donne des résultats corrects, elle est encore loin de valoir une traduction humaine quand il s’agit de créer un contenu attractif et stylisé. Ces projets sont donc traités à 100 % par des humains, pour un coût au mot bien plus élevé. Mais comme le volume est moindre, le budget reste raisonnable.
Les entreprises sont soumises à des contraintes budgétaires fortes et doivent sans cesse prioriser. L’axe que nous avons travaillé pour ce client consistait à tout faire traduire pour son lancement à l’étranger, avec des degrés de qualité différents.
Dans ces mêmes circonstances, d’autres entreprises choisiront une forte qualité de traduction quitte à réduire le nombre de supports à internationaliser.
Comme chaque année chez TradOnline, la saison des rapports annuels débute en janvier.
La traduction d’un rapport annuel requiert expertise et professionnalisme, tous les traducteurs n’ont pas les compétences pour traiter ce type de projet. Non seulement le rapport annuel peut comporter des éléments juridiques mais également des éléments financiers pointus. Quant au volume, il est généralement important : entre 20 000 et 40 000 mots en moyenne.
Qu’est-ce qu’un rapport annuel ?
Le rapport annuel est un document rédigé chaque année dans les 4 mois qui suivent la fin de l’exercice fiscal de l’entreprise. Ce document regroupe les informations principales sur l’activité de la société au cours des 12 derniers mois, mais également les projections sur les années à venir en termes de stratégie ou de perspectives d’avenir, ainsi que les événements marquants qui ont impacté l’activité de votre entreprise. On retrouvera notamment un bilan et un compte de résultat dans le rapport annuel d’une entreprise.
Le rapport annuel est un document que l’on doit obligatoirement fournir aux actionnaires au moins 15 jours avant la date de l’assemblée générale.
Par le passé, toute entreprise devait déposer une copie de ce rapport annuel au greffe du tribunal d’instance. Ce n’est plus le cas aujourd’hui pour les entreprises non cotées en bourse.
Pourquoi les rapports annuels sont-ils si importants ?
Il s’agit d’un document qui sera présenté à l’ensemble des collaborateurs de votre entreprise : actionnaires, partenaires externes, salariés en interne, filiales. Chaque donnée se doit d’être traduite le plus fidèlement possible, et de nombreux termes se doivent de respecter la terminologie de votre entreprise.
La plupart des entreprises cotées en bourse mobilisent énormément de ressources pour que ce document soit complet. Il leur est donc nécessaire d’obtenir une traduction de qualité, qui ne viendra pas gâcher la qualité du travail fourni en amont.
Ce rapport annuel va véritablement servir de feuille de route lors de l’assemblée générale et va permettre de guider le conseil d’administration dans ses décisions futures. C’est CE rapport qui va guider la politique de votre entreprise. Il est donc primordial que sa traduction soit extrêmement précise.
Nos conseils pour optimiser la traduction de votre rapport annuel
Nous vous conseillons d’inclure les délais de traduction dans votre retro-planning initial. Vous penserez peut être qu’il s’agit d’une évidence mais de nombreuses entreprises attendent le dernier moment pour se poser la question de la traduction. Or, plus on doit travailler dans l’urgence, plus les tarifs sont élevés. Vous avez donc tout intérêt à anticiper pour votre santé (financière et physique) comme pour la nôtre !
D’autant que si vous avez anticipé, ceci vous évitera également de vous étrangler en recevant des devis de traduction. Car la traduction d’un rapport annuel de 30 000 mots représente un budget conséquent (environ 5 000 € HT, qu’il faudra pondérer en fonction de vos contraintes et des langues cibles).
Si toutefois vous souhaitez faire baisser le prix de traduction de votre rapport annuel, évitez à tout prix de vous adresser à une agence de traduction à bas coûts. Les résultats ne seront pas à la hauteur de vos attentes et vous aurez l’impression d’avoir payé trop cher pour la qualité reçue. Privilégiez donc la segmentation de votre document : que dois-je faire traduire absolument ? Quelles parties vont avoir un impact fort sur les décisions à venir ?
Pour les contenus qui ne font pas partie de cette catégorie, nous pourrons même envisager de vous proposer d’en effectuer une traduction automatique avec relecture humaine.
Grâce à la qualité de ses conseils, TradOnline est l’agence de traduction idéale pour vous soutenir dans vos projets de traduction de rapports annuels financiers.
S’il vous est déjà arrivé de vouloir ajouter des sous-titres sur une vidéo mp4, vous devez sans doute savoir que les fichiers de sous-titres sont au format SRT. N’importe quel logiciel de lecture de vidéo sait lire ce format. C’est le cas de VLC mais de bien d’autres lecteurs.
Mais savez-vous comment on crée un fichier SRT et comment on l’alimente ? C’est ce que nous faisons régulièrement chez TradOnline, pour tous nos clients qui créent des web-séries pour Youtube ou Facebook notamment !
1 – Pourquoi sous-titrer une vidéo ?
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’aujourd’hui près de 80% des vidéos sont regardées sans le son. C’est le cas notamment des vidéos sur Facebook, grâce à l’autoplay. Dans ce cas, si votre vidéo n’est pas sous-titrée, elle risque de ne pas atteindre sa cible.
Par ailleurs, sous-titrer votre vidéo sur YouTube va également aider à son bon référencement. Le sous-titrage est donc devenu une étape incontournable en seulement quelques années !
Le sous-titrage peut être nécessaire dans de nombreux autres cas comme pour les supports de formation.
2 – Créer un fichier SRT
Pour commencer, il est important de comprendre ce que comporte un fichier SRT.
C’est un fichier texte assez basique qui comprend le texte qui va apparaître dans les sous-titres, ainsi que les time-codes. Les times-codes sont là pour indiquer au lecteur multimédia à quelle minute/seconde il doit afficher le sous-titre en question.
Un fichier SRT ressemble à ça :
À noter : si vous comptez poster votre vidéo sur Youtube, nous devrons vous fournir des fichiers .sbv à la place des fichiers .srt. Mais ne vous inquiétez pas, là aussi, on sait le faire.
Nous pouvons également créer des sous-titres pour des vidéos dans de nombreux formats. Voici quelques-unes des extensions que nous prenons en charge : .mov, .fly, .avi, .mp4, .wmv, .mpg.
Pourquoi ? Premièrement car il faut savoir ce qu’est un fichier SRT, comment on l’ouvre et comment on le met à jour. Croyez-moi, tous les traducteurs ne sont pas à l’aise avec la discipline.
Deuxièmement, il faut être synthétique car chaque sous-titre doit être raccourci pour contenir entre 30 et 40 caractères par ligne. Les traducteurs doivent donc réfléchir à leur traduction en gardant en tête cette contrainte. Plus le taux de foisonnement est important entre la langue source et la langue cible, plus le projet s’apparente à un travail de résumé.
4 – Synchronisation et incrustation du texte dans vos vidéos
Si vous n’avez pas la possibilité de nous fournir les time-codes, il nous faudra les créer à partir de votre vidéo.
Si la vidéo est diffusée sur les réseaux sociaux, vous pourrez vous passer de l’incrustation des sous-titres. Il faut suffira d’accompagner la vidéo d’un fichier SRT au moment du téléchargement sur Facebook.
En revanche, si vous êtes sur la création d’une vidéo plus institutionnelle, il sera nécessaire d’incruster les sous-titres directement dans votre vidéo. C’est une prestation plus onéreuse mais plus professionnelle.
Ce qu’il faut noter, c’est que nous saurons vous conseiller la meilleure solution pour chacun de vos projets. Que vous ayez besoin de faire traduire une vidéo de présentation interne, une vidéo publicitaire, une vidéo de formation, un film institutionnel, nous avons une solution.
5 – Traduction de sous-titres : tarifs
La différence de coût avec un projet de traduction n’est pas liée à la complexité de la traduction en soi. En revanche ce qui peut faire la différence, c’est la transcription audio initiale (écriture de votre contenu oral) et la création de fichiers SRT ou assimilés ainsi que l’encodage de vos vidéos et l’incrustation des sous-titres (si nécessaires).
Tous les niveaux de prestations existent, selon que vous souhaitiez un travail d’entrée de gamme ou un travail d’expert. Selon le cas, nous vous proposerons une tarification adaptée. N’hésitez pas à nous faire part de vos exigences et de votre budget afin que nous puissions satisfaire vos attentes au mieux. À noter : TradOnline travaille avec 3 prestataires différents selon le degré de qualité attendue.
Votre start-up a quelques années d’existence et pour développer votre CA vous envisagez de vous lancer à l’international ?
C’est une excellente idée ! Cela dit, selon les cas, vous allez peut-être avoir du mal à estimer ce qui est à localiser dans votre CMS. TradOnline est là pour vous aider à y voir plus clair sauf si votre CMS a été créé en interne. Dans ce cas, le mieux est encore de vous tourner vers votre service informatique.
En revanche, si vous travaillez sur un CMS du marché, nous serons de bon conseil !
5 questions à vous poser avant la traduction de votre site internet :
1 – Votre site internet est-il un site vitrine ou un site e-commerce ?
Site vitrine : en France, la plupart des sites internet multilingues, prévus pour l’international, sont réalisés sur WordPress. Si vous ne savez pas comment exporter le contenu de votre site internet depuis WordPress, n’hésitez pas à nous donner accès à votre espace administrateur pour que nous puissions vous aider.
Chez TradOnline, nous vous proposons un accompagnement complet depuis l’export des contenus à traduire jusqu’à la réintroduction sur votre site internet. C’est notre option « clés en main » pour tous les frileux de l’informatique.
À noter : si vous travaillez sous WordPress et que le plugin WPML est installé sur votre site internet, il est possible d’en exporter le contenu en quelques clics. Contactez-nous pour plus d’informations.
Site e-commerce : si vous travaillez avec Prestashop, WooCommerce ou Magento, n’hésitez pas à nous ouvrir un accès test pour que nous puissions évaluer le travail à réaliser.
Si vous pouvez nous exporter le contenu sous format Excel, CSV, html, xml ou autre, c’est encore mieux !
Question essentielle, selon les produits que vous commercialisez à l’international et le marché que vous ciblez, il est possible que la réponse à cette question soit différente.
Prenons un exemple :
Vous vendez des chaussettes en ligne. Certes le marché est concurrentiel, mais il n’existe pas réellement d’autres barrières à l’entrée sur les marchés internationaux puisque tout le monde porte des chaussettes.
En revanche, si vous proposez un service d’accompagnement juridique, la législation étant très différente d’un pays à un autre, vous n’aurez pas d’autre choix que d’adapter le contenu de votre site internet au marché que vous ciblez.
3- Que souhaitez-vous faire des métadonnées ?
Là encore, à vous de vous poser la question ! Que doit-on faire des métadonnées ? Ces données sont incluses dans le code de votre site internet et ont un impact sur le référencement de celui-ci.
Doit-on traduire les balises title, les balises ALT, les méta-descriptions, les mots-clés ? Si vous souhaitez être bien référencé sur des marchés internationaux, nous vous conseillons de nous sous-traiter cette tâche. Chaque mot-clé et chaque terme doivent être adaptés aux intentions de recherche de votre cible.
Pour les URL, il est préférable que vous vous renseigniez auprès de votre service informatique, car selon l’architecture de votre site, il est parfois impossible de toucher aux URL sans affecter la stabilité de celui-ci.
4- Doit-on tout traduire ?
Il n’est pas rare que les sites internet de nos clients comportent des fichiers associés tels que des PDF. Ces PDF doivent-ils être traduits ? Si oui, êtes-vous sûr qu’ils ne sont pas déjà traduits ? Car la plupart du temps ces PDF ne sont rien d’autre que des brochures destinées à vos clients. Allez-vous utiliser les mêmes supports pour vos clients à l’international ?
La même question se pose également pour les CGV et les mentions légales. Sont-elles déjà traduites ? Doivent-elles être modifiées pour l’export ?
Qu’en est-il du dossier de presse ? Doit-on traduire tous les articles ? Doubler ou sous-titrer les vidéos ? Et quid des témoignages de consommateurs ?
Autant de questions et de réponses auxquelles vous seul saurez répondre !
5 – Les images : source de problème
Il n’est pas rare de trouver des sites internet qui comportent des images, créées sous InDesign, qui comportent du texte. Si tel est le cas, nous ne pourrons pas les traiter directement dans votre CMS. Nous vous préconisons donc de nous les fournir sur fichiers « à part » (format IDML pour les images traitées dans Indd).
Conseil : évitez de mettre de nombreuses images avec texte incrusté, car elles compliquent très nettement les processus de traduction.
Dans certains cas (formats de fichiers HTML, XML, etc.), nous pouvons également traduire le nom des images directement pour vous dans le code. Ex : si votre image est enregistrée sous le nom « notice technique » en français, nous pourrons le remplacer par « technical notice » en anglais et ainsi de suite pour les autres langues.
Bilan : Prenez de temps de la réflexion. Et si vous avez besoin d’un accompagnement, TradOnline est là pour vous aider !